mardi 2 octobre 2012
Maire au Québec...
Le pouvoir sur une ville relève en tout premier lieu de la démocratie. Prenez Gérald Tremblay ; c'est un maire élu. Avec les élections clé en main, tout se peut. Si on a suivi le témoin de la Charbonneau, c'est une probabilité forte pour l'élection 2009 de la métropole Québécoise.
Ce témoin allègue des systèmes avec la permission des membres de la Commission. Les procureurs présents ne conduisent pas l'interrogatoire sans une preuve béton. Je ne sais pas ce qu'on a promis à Zambito, pour qu'il explique tout ça. C'est ce qui me suggérerait, à la gouverne de la cité dont le témoin parle, de démissionner.
Dans l'état actuel des allégations, nous ne sommes plus en démocratie. Le maire élu de l'île métropolitaine, en plaidant la patience, protège un système verreux. Sur l'île, tous reconnaissent la complicité d'officiers de la ville. Abdullah, Surprenant "tps" et Leclerc aromatisent l'os du monstre allégué. Ça commence à faire une sorte de bon gigot.
Moi, à la place de l'élu, je ne jouerais plus le chef-cuisinier d'un grand resto reniflant l'odeur d'un gigot juteux, qui nie ne pas voir le gigot. Non, j'irais plutôt invoqué que mes feux de poêle sont éteints, le temps de prendre le morceau dégoulinant dans la gueule.
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