mardi 19 juin 2012
Un pervers...
Les derniers pervers se ressemblent tant qu'à leurs réactions lorsque mis en accusation. Globalement, ces êtres plaident la non-culpabilité. En second lieu, ces individus se soumettent à un examen psychiatrique.
Le droit nécessite bien sûr que les accusés, chacun leur tour, bien sûr, soient aptes à subir leur procès. Un psychiatre interviendra pour le déterminer. Aussi, des examens psychiatriques étudieront les gestes posés par ces mêmes accusés.
Le dernier cas connu confirme la première démarche. Aujourd'hui, en plaidant non-coupable du meurtre au premier degré avec préméditation, l'accusé vedette l'officialisera. Cette décision en droit se répendra par la voix des deux procureurs de la couronne.
La responsabilité de ce dernier prend pour l'instant toute la place.
- Un, son air placide, de marbre, ne laisse pas place à interprétation.
- Deux, par surcroît, les atrocités réalisées renforcent déjà la thèse de la folie psychotique.
- Trois, toutes les actions commises sont tellement nombreuses qu'on ne peut qu'avouer notre incompréhension.
La psychiatrie reste une science inexacte bien que l'on accorde toute sa pertinence en preuve. Le proclamé inapte à subir son procès reste possible. On ne se surprendra pas qu'une opinion psychiatrique proviendra et de la partie défenderesse et de la partie accusatrice.
Je terminerai ce billet en y allant de ma thèse citoyenne. À mon avis, c'est un être pervers et condamnable. Voici, je connais un gars qui tue les chatons. Que voulez-vous, il éprouve du plaisir à les éliminer. Puis-je le réprimander directement en le condamnant de ses gestes ?
Quand la perversion, la pratique particulière, passe avant l'être sacrifié, commence la perversité.
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