samedi 2 juin 2012

Louis...



Je ne connaissais pas cette chanson jusqu'à cette aprem...

Ces temps-ci, je suis préoccupé, outre mesure peut-être, par la question étudiante d'ici. Ici, ce sont des jeunes politisés, trop peut-être, d'autres, qui s'en foutent. Seraient-ils différents, différentes de la jeunesse qui les ont précédés, ça, je ne m'en fout pas.

Mes deux fils sont très intéressés par la question du jour. Je suis à la fois fier d'eux, des deux. Ce ne sont pas des individualistes bêtes et égoïstes, non. Si j'examine attentivement leurs chemins, respectifs, ce sont des êtres aimants, chaleureux. Tout ce dont un père comme moi, chérit.  C'est, banalement, y a autre chose que l'égo.

La polarisation.

Je déteste ce mot. Il divise et enrichit un débat de nature politique bien sûr, mais plus que ça, c'est d'une grossièrement sociale. C'est que, voyez-vous, la globosphère s'adonne à tant d'irréparable que vu d'ici, c'est tellement, mais tellement civilisé qu'on dit ?

Voudrions-nous, je me répète, voudrions-nous que ce litige devienne une sorte d'arabe révolution ?

Dans le fond, je voudrais qu'on regarde l'autre comme un être immuable et impermanent.

Sassepeuxtu ?

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