J'admets. Les derniers topos de mon blog, ils sont négatifs. J'avoue. Néanmoins, je ne pourrais être en accord avec l'attitude politicienne presque désinvolte. D'apparence et dans les faits, ils le démontrent. À l'égard des rouleurs de nos routes métropolitaines et du Québec civilisé, c'est un comportement de nonchalant.
Même Madame Marois explique ses retards aux multiples sondages. L'opposition officielle de la Belle, ne trouve rien de mieux que de critiquer sans émettre une quelconque approche constructive ou innovatrice. Rien dans sa logique me permet d'encourager ma parenté et amis de la métropole. Les rénos entourant les infras routières du Québec ne datent pas d'hier Madame.
Je maintiens mes propositions élaborées, vite vite, dans ce billet. Lorsque l'Ordre des Ingénieurs y va de ses recommandations, je veux bien. Pourquoi, alors ne pas s'accorder au plus tôt un grand caucus (c'est rapide un caucus) avec les différents intervenants.
Si on regarde de plus près la région métropolitaine. 46% de Québécois s'y retrouvent. Même en occupant moins de 1% du territoire. Les mairies, 89 pour être précis, gouvernent chacun leur patelin. Ça tire d'un côté et ça bloque de l'autre.
Finit le souque à corde bordel !
Voyez, l'Île de Montréal ; moins de 500 km carré avec 23% de la population Québécoise. L'administration ; 15 villes plus 19 arrondissements à la ville de Montréal. Oui, 16 conseils de villes. Imaginons les aléas provoqués par ce mêli-mêlo de promesses électorales. Trop de rouge ou trop de bleu ?
Son réseau routier, on le sait tous, nécessitent des rénos sinon, la subsitution. On évalue Champlain, à 6 milliards. Le pont Mercier ? Dorval ? L'échangeur ? Pour tout dire, après avoir entendu une grande partie des intervenants, par l'effondrement de l'A-720, réalisons les besoins concrètement. Vite des solutions, même draconiennes.
On dit que le sous-sol "réseaux d'égouts" abrite 5000 km de tuyauteries. On ajoute que plus du tiers est vétuste et mérite des rénos. Déjà, les autorités précisent les besoins grandissant dans le Devoir. Diminuons le trafic alors et qu'on répare.
Montréal est une île. Est-ce qu'on l'a oublié ? Voilà, il est urgent de diminuer l'achalandage aux structures asphaltés et bétonnés sur ce territoire. Je comprends l'aspect économique de la métropole mais on a pas le choix. Merde, un paralume d'une vingtaine de tonnes s'affaissent. Ça prend quoi ? En l'espace d'une semaine, on a sécurisé le Tunnel Viger avec des poteaux et autres amarres pour 19 poutres. Il en existe une trentaine plus à l'ouest sur la Ville-Marie. Ça prend quoi ? Du temps, de l'argent et moins de trafic...
L'aller-retour des banlieusards ne laisse aucun répit. La volonté d'atténuer rapidement ce flot quotidien provient de nul part. Personne. Désolé, plusieurs en parlent, font campagne, puis, plus rien. Mon neveu lui agit tous les jours en allant sur l'île. Oui, Nic prend le train ou le vélo. Combien voit-on de véhicules avec un passager ? C'est ridicule.
Tout ça, les constats faits, on doit agir et mobiliser des énergies innovatrices à la civilisation métropolitaine. Aspirer et appliquer une vision d'avenir pour tous les citoyens de Montréal. Normal non ? Lorsque le Maire Tremblay de Saguenay dit à haute voix que c'est une ville ingouvernable, il n'a pas tort. Changeons la donne alors.
Allez, bonne journée !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire