Ce matin au réveil, j'ai visité le p'tit Liban Montréalais selon Sami Aoun. Au passage, ce politologue émet souvent son opinion sur la chaine canayenne. Vous saurez que je ne suis pas toujours en accord avec lui. Oui, je me le permet. Fermons la parenthèse. Ce matin, disais-je, j'entendais Catherine Pépin se soumettre à la visite d'Aoun. C'est là que j'ai su qu'une grande pâtisserie Libanaise y était. Grâce à eux.
Grâce à eux, je me suis souvenu de l'intérêt que j'éprouvais pour le Liban. Allez, je vous le dit. J'écris un bouquin. Dans mon histoire, tout débute avec un Beyrouthin et je n'y ai jamais mis les pieds. Donc, je me suis mis à la recherche du Liban par la toile. C'est pas évident d'initier ton histoire, avec un fond d'exactitude histo, du Beyrouth d'avant 69.
Lors de mes recherches, je me suis laisser prendre à apprécier le peu que je savais du Liban. Alors, lorsque j'entends des gens en discuter, je deviens bon public. J'ai placé ici les images d'une diva arabe, Fairuz. Je ne la connaissais pas. Aoun l'aime bp. Là je suis d'accord avec lui et on s'en fout. Ma recherche m'a permis aussi d'avoir une sensibilité arabisante. Je ne suis pas en accord avec la tendance anti-arabe souvent galvaudée par les médias.
Fairuz - Waynon par mnmlynda2000
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