mercredi 31 août 2011
varia
j'ai surpris la députation PQuiste cette aprem. Seule une mouche brisait le silence discret. « Tsé Pauline, la démission, envoye donc...»
DSK
"que voulez-vous, le maudit Français, il M ça..."
Irene
que de dégâts ses ouragans. matériel ; difficile à chiffrer à chaque fois. en vie humaine, terrorisant.
NHC
saviez-vous que depuis 1953, les ouragans sont féminins. simple, sauf que depuis 79, le féminisme étant, les noms adressés aux phénomènes alternent avec le masculin. Qui est Katia ?
Plan Nord
La Chine, juste comme ça, affiche le pire dossier des morts dans les mines ; des milliers de décès par année. vendre aux chinois, pas sûr que ce soit un plus.
l'économie
Legault, comme Charest, semble miser sur le développement économique et ce, peu importe le porteur de ballon.
bulletin
j'entends les analystes de l'économie de la Belle attribuer des notes, médiocre surtout. tant qu'aux votes à mains levés, ça s'impose...
dimanche 28 août 2011
Tendresse...
J'écrivais y a pas si longtemps, que j'oubliais la tendresse souvent. Ce matin, je réalise qu'elle m'habite bien malgré moi. Voyez, depuis ma naissance. Des parents extraordinaires, une épouse loyale, des enfants merveilleux et des amis fidèles, que voulez-vs demander de plus ?
Ce matin, vous le savez, je me rends à la messe dominicale. À matin, la Cathédrale. Peu importe, ce moment contribue à mon mieux être. Ne fût-ce que pour le fait de réaliser tout ce que j'ai reçu, gratos. Au fait, c'est lui qui m'a choisi, pas moi. Plus, il me poursuit de son attachement à mon égard. Si ce n'est pas de la tendresse c'est quoi ?
Un peu comme Osée, le prophète qui raconte. Il épouse une putain, qui se lassera de lui, par lassitude. Elle l'abandonne pour autre chose qui mérite le châtiment humain. Il ne la condamnera pas. Il ira plutôt à sa reconquête, patiemment, confiant de son amour pour elle. Un amour qui conduit pus loin.
Imaginez, je n'est jamais choisi mes parents et tout le reste qui m'est tombé dessus. Certains parlent d'un hasard, d'heureux hasards, je n'y crois pas. C'est ce qui me rallie à la Tendresse de Dieu.
samedi 27 août 2011
Un bon Jack !!!! "clic"
Oui, et tout le monde le dit, en parle, en boucle même, Monsieur John Gilbert Layton, "c'était un maudit bon gars". Toujours souriant, tel un homme heureux. On dit que pour être heureux, il ne faut rien attendre des autres. Était-ce le cas ? Je crois que je pourrais l'affirmer.
Tous conviendront cependant qu'on ne peut vraiment juger le politicien. Sans être passé par le pouvoir, il nous est difficile d'estimer ses politiques réels. Lorsqu'un parti, même Orange, grimpe tout en haut, ses actions diluent le programme. Même le bon Jack devient plus nuancé.
Mais sa dernière victoire électorale arrive comme un legs à tous les canayens. Tout spécialement, pour les citoyens de la Belle, blasés, tannés, frustrés ou usés d'être relégués dans une constante contestation. Voilà, fini le boudage, comme on dit ici, des enfants capricieux.
Monsieur Duceppe, sniffant la menace, avait dit lors du débat, un peu de manière hautaine, " Monsieur Layton, j'espère que vous savez que vous ne serez pas premier ministre après le 2 mai...", il ne se doutait sûrement pas que ce serait la fin du Bloc, sinon, l'agonie lente.
Vers la fin de la dernière campagne, je me remémore encore les phrases indignes de Gérald Larose. Prenez ce petit bout d'anglicisme, trop méprisant en tel circonstance, "ce sont des crosseurs", que Larose avait machouillé envers le clan orange, en appui au Bloc, menacé.
Je sais, sans le bon Jack, il est fort possible que le Bloc ait passé la rampe. Il est possible que mon député ait reçu la récompense de ses commettants, et bien non. On s'offusque chez les perdants d'avoir placé des anglos sur le territoire de la Belle. Pi, un cochon Orange vaut bien un cochon du Bloc.
Je termine ce billet en déplorant le départ d'un soldat de la démocratie. Vous saurez, c'est comme ça. La mort, on y a tous droit, c'est un incontournable. Les Oranges du pays pourront toujours se dire que leurs chefs fût un des grands du Canada. Un Être tenace convaincu de sa mission jusqu'au bout.
lundi 22 août 2011
Oreille ?
Oui, encore mon oreille. Elle souffre d'une otite externe diffuse. En quelques mots, c'est comme lorsque j'étais ptit après la baignade dans le Saguenay ou pire, la rivière au Rat. L'image emprunté décrit bien la région. L'otite en question se situe entre le tragus (conduit externe)et le tympan. Ce qui fait que ; 1- une rougeur s'installe, 2- le conduit se referme complètement par l'enflure, 3- la douleur monte à 7/8 sur 10, rendant le contour ultra-sensible.
Aux oubliettes le fractionnement.
Les électeurs de la Belle refoulent leurs priorités, nommez-les, au gré des guéguerres infertiles et des politiques incomplètes. À mon avis, ce qui se passe chez les Péquisses illustrent bien mon modeste topo. Ici, je ne parle pas des souverainistes au sens large du terme mais bien des membres qui se complaisent dans un harakiri solitaire et ou collectif, sans le seppuku.
La Coalition pour l'Avenir du Québec "CAQ" représente l'une des seules voies de remplacement au Libéro. On pourra bien bla-blaguer sur le dos des leaders, n'empêche, que seule leur alternative suggère de grands changements. Réalisons aujourd'hui que nos problèmes sont évidents.
De suite, un souhait unanime des citoyens de la Belle ? Une commission d'enquête sur la construction au Québec. Sans détour, mur à mur. Suis-je dans l'erreur ? Non. Relisez les communiqués de presse de la majorité des groupes professionnels, des associations sociaux-économiques, des organismes municipales de toutes sortes, etc, vous retrouvez-là, une majorité de citoyens influents en faveur.
Le CAQ préconiserait d'entrée de jeu le dossier INTÉGRITÉ. Oui, il en faut plus. Le plus ne surviendra pas d'un fractionnement infertile. Ni des Libéros à Monsieur Charrest. Alors, ce virage radical, désagréable mais nécessaire, viendra du CAQ. J'y pense, on peut toujours prôné la procrastination, le laisser-aller. Alors, je m'en remets aux sondeurs.
dimanche 21 août 2011
L'Église ne passera pas...
samedi 20 août 2011
Pauline !
Allez Pauline, retires-toi !
Que faut-il à cette cheffe pour qu'elle se lève de ce trône d'antan. Vous savez madame que le temps passe vite. Nous sommes loin de l'époque des fondateurs du PQ, des grandes réalisations d'un mandat, des périodes référendaires et du débat d'une idée, genre, ritournelle sans air.
L'échiquier fédéral aura suffisamment négocier de pouvoir pour satisfaire une majorité de la Belle. Oui, ne m'en déplaise, c'est ainsi. Les luttes fratricides auront conduit à ça.
Pauvre médiocrité ?
Écoutez madame, il n'en faut pas tant au peuple opulent pour se distraire de la souveraineté. Les goinfres n'ont rien à faire des rêves, même valeureux, pourvu qu'ils s'empiffrent.
Alors, retirez-vous Madame et comme tous ceux qui se gobergent d'hier, oubliez-ça et devenez partisan du simple bon sens, de la justice et de la droiture. À ce rythme, les partisans du gouvernant actuel s'en pourlèchent les babines.
vendredi 19 août 2011
Kékéli
Une petite fille est né au Togo. Issue de l'union d'une Saguenéenne et d'un Togolais, elle porte ce nom lumineux, Kékéli, Kékéli Adéline. Ce prénom, en Ewe signifie "lumière".
Ses grands-parents maternels demeurent ici, à Chicoutimi-nord. Le grand-père, vous saurez, a fondé un site extraordinaire que je place en lien juste ici. La grand-maman, plus discrète, n'en est pas moins heureuse. Tous les deux, je les considère comme des gens éclairés et généreux.
Vous m'entendrez souvent dire sur ce blog que les gênes se souviennent. Et bien, croyez-moi, dans ce billet la preuve est faite. Bien que Kékéli me soit une inconnue, je ne peux qu'imaginer autre chose que générosité.
Charles Hudon "clic"
Mon équipe junior m'oblige à renouveler mon abonnement tellement les jeunes sont prometteurs. Qu'il s'agisse des Grégoire, Dauphin, Desbiens, Tremblay, et je n'ai pas parlé encore mentionné Charles Hudon, une étoile montante. C'est fait, mon option est validé pour la saison.
Hudon vient d'accomplir un fait d'armes. Terminer premier au tableau des compteurs de l'équipe canadienne des moins 18 ans au Hlinka 2011. Le jeune score et bouge toujours. Tout a l'air si facile tellement il est agile. Regardez ce but révélant un aspect du joueur.
Il se démarque sur la glace et pourtant, les observateurs ramènent toujours sa petite taille. Sa dernière interview entendu exprime bien son agacement. Il dira : « cette été j'ai pris de la masse musculaire, je suis à 175 livres. Mieux, j'ai poussé. Je suis à 5 pieds 10. Que les sites modifient mes données... » Le site des Bleus est actualisé.
jeudi 18 août 2011
Pettersen vs Monette
La Ville de Saguenay, je le crois, est un royaume en lui seul. Plusieurs croiront, avec un certain sérieux, que ce royaume vire plutôt en cirque loufoque.
Voici une histoire triste.
On a un politicien avec des ambitions politiques multiples. Dans ses campagnes électorales, nommez-les, son programme improvisé le poussera à se rendre sur le pont de la cité tous les matins, avec pancarte sur le terre-plein. Cette démarche bizarroïde, 2 fois plutôt qu'une, résulte en un échec attendu par la majorité des observateurs (2011/ 6% et 2008 / 13,5%).
Pourtant, ses implications au Conseil de Ville se passe bien. De plus, le conseiller utilise abondamment toutes les pages des médias sociaux connus. Par moment, il annoncera ses faits et gestes pour son district (10) dans les médias. Jusque-là, tout est positif. Ensuite, il aura fallu l'explosion funeste.
Vrai ! Un délire de gars chaud contraire à la bonne conduite d'un élu. Oui, le morning-man a tiré à boulet rouge, ce n'est pas surprenant. Ce type impulsif est une sorte de manette universel qui ne contrôle plus rien. Mais de là à plagier les frasques des boxeurs à la veille d'un combat, c'est fou raide. Tout compte fait le conseiller a déraillé bizarrement sans le pont.
Messieurs, la fonction publique impose un respect relatif ; celui de conseiller municipal mais aussi celui du preneur de micro. Les deux auront tombé, le premier dans le burlesque, le second, au mauvais goût gratuit. Voilà un processus à éviter.
dimanche 14 août 2011
Babylone Café "clic"
Ce matin au réveil, j'ai visité le p'tit Liban Montréalais selon Sami Aoun. Au passage, ce politologue émet souvent son opinion sur la chaine canayenne. Vous saurez que je ne suis pas toujours en accord avec lui. Oui, je me le permet. Fermons la parenthèse. Ce matin, disais-je, j'entendais Catherine Pépin se soumettre à la visite d'Aoun. C'est là que j'ai su qu'une grande pâtisserie Libanaise y était. Grâce à eux.
Grâce à eux, je me suis souvenu de l'intérêt que j'éprouvais pour le Liban. Allez, je vous le dit. J'écris un bouquin. Dans mon histoire, tout débute avec un Beyrouthin et je n'y ai jamais mis les pieds. Donc, je me suis mis à la recherche du Liban par la toile. C'est pas évident d'initier ton histoire, avec un fond d'exactitude histo, du Beyrouth d'avant 69.
Lors de mes recherches, je me suis laisser prendre à apprécier le peu que je savais du Liban. Alors, lorsque j'entends des gens en discuter, je deviens bon public. J'ai placé ici les images d'une diva arabe, Fairuz. Je ne la connaissais pas. Aoun l'aime bp. Là je suis d'accord avec lui et on s'en fout. Ma recherche m'a permis aussi d'avoir une sensibilité arabisante. Je ne suis pas en accord avec la tendance anti-arabe souvent galvaudée par les médias.
Fairuz - Waynon par mnmlynda2000
samedi 13 août 2011
Ceux qui disparaissent dans l'oublie...
On ne l'a voit plus, et c'est mon papa de 86 ans qui ne l'oublie pas...
Spectacles grandioses et déploiements.
Les cités modernes espèrent beaucoup du tourisme, d'où qu'ils arrivent. De même, les villes et municipalités de notre région développent cet aspect incontournable de nos économies. C'est ainsi qu'elle encouragera les entrepreneurs locaux et leurs concitoyens à collaborer, innover et créer.
À Saguenay, les attractions sont nombreuses. Perso, j'aimerais enrichir ce bilan culturel et économique par mes suggestions. Jusqu'à présent, j'ai un concept original intéressant différents intervenants. À ce jour, je n'ai évoqué que l'objet en négligeant le chef-d'oeuvre.
lundi 8 août 2011
Un ti-peu de montréalité... encore
J'admets. Les derniers topos de mon blog, ils sont négatifs. J'avoue. Néanmoins, je ne pourrais être en accord avec l'attitude politicienne presque désinvolte. D'apparence et dans les faits, ils le démontrent. À l'égard des rouleurs de nos routes métropolitaines et du Québec civilisé, c'est un comportement de nonchalant.
Même Madame Marois explique ses retards aux multiples sondages. L'opposition officielle de la Belle, ne trouve rien de mieux que de critiquer sans émettre une quelconque approche constructive ou innovatrice. Rien dans sa logique me permet d'encourager ma parenté et amis de la métropole. Les rénos entourant les infras routières du Québec ne datent pas d'hier Madame.
Je maintiens mes propositions élaborées, vite vite, dans ce billet. Lorsque l'Ordre des Ingénieurs y va de ses recommandations, je veux bien. Pourquoi, alors ne pas s'accorder au plus tôt un grand caucus (c'est rapide un caucus) avec les différents intervenants.
Si on regarde de plus près la région métropolitaine. 46% de Québécois s'y retrouvent. Même en occupant moins de 1% du territoire. Les mairies, 89 pour être précis, gouvernent chacun leur patelin. Ça tire d'un côté et ça bloque de l'autre.
Finit le souque à corde bordel !
Voyez, l'Île de Montréal ; moins de 500 km carré avec 23% de la population Québécoise. L'administration ; 15 villes plus 19 arrondissements à la ville de Montréal. Oui, 16 conseils de villes. Imaginons les aléas provoqués par ce mêli-mêlo de promesses électorales. Trop de rouge ou trop de bleu ?
Son réseau routier, on le sait tous, nécessitent des rénos sinon, la subsitution. On évalue Champlain, à 6 milliards. Le pont Mercier ? Dorval ? L'échangeur ? Pour tout dire, après avoir entendu une grande partie des intervenants, par l'effondrement de l'A-720, réalisons les besoins concrètement. Vite des solutions, même draconiennes.
On dit que le sous-sol "réseaux d'égouts" abrite 5000 km de tuyauteries. On ajoute que plus du tiers est vétuste et mérite des rénos. Déjà, les autorités précisent les besoins grandissant dans le Devoir. Diminuons le trafic alors et qu'on répare.
Montréal est une île. Est-ce qu'on l'a oublié ? Voilà, il est urgent de diminuer l'achalandage aux structures asphaltés et bétonnés sur ce territoire. Je comprends l'aspect économique de la métropole mais on a pas le choix. Merde, un paralume d'une vingtaine de tonnes s'affaissent. Ça prend quoi ? En l'espace d'une semaine, on a sécurisé le Tunnel Viger avec des poteaux et autres amarres pour 19 poutres. Il en existe une trentaine plus à l'ouest sur la Ville-Marie. Ça prend quoi ? Du temps, de l'argent et moins de trafic...
L'aller-retour des banlieusards ne laisse aucun répit. La volonté d'atténuer rapidement ce flot quotidien provient de nul part. Personne. Désolé, plusieurs en parlent, font campagne, puis, plus rien. Mon neveu lui agit tous les jours en allant sur l'île. Oui, Nic prend le train ou le vélo. Combien voit-on de véhicules avec un passager ? C'est ridicule.
Tout ça, les constats faits, on doit agir et mobiliser des énergies innovatrices à la civilisation métropolitaine. Aspirer et appliquer une vision d'avenir pour tous les citoyens de Montréal. Normal non ? Lorsque le Maire Tremblay de Saguenay dit à haute voix que c'est une ville ingouvernable, il n'a pas tort. Changeons la donne alors.
Allez, bonne journée !
samedi 6 août 2011
Des routes, des ponts et des réparations.
Les métropoles du monde contribuent à leur propre perte. En regardant Montréal, une petite métropole, force est d'admettre qu'elle ne fait pas exception. Les élus municipaux n'y changent rien par opportunismes creux.
Oui, vous verrez ici et là des exceptions doués d'une certaine vision d'avenir. Trop souvent, vous ne les verrez pas longtemps. Ils passeront pour des radicaux écolos ou alors des hurluberlus esseulés puis ignorés aux urnes.
Pourtant, les évidences actuels démontrent à quel point ils voient juste en exigeant des changements. Les dernières tendances démographiques vers la banlieue ne font qu'aggraver la situation. Les mêmes gens qui refusent de modifier leurs comportements, signent les premières revendications toujours onéreuses.
Soit, ils sont aveuglés par une course insatiable du gain ou soit ils sont de vulgaires ignares en calcul arithmétique. Les deux sont aussi une possibilité. Les solutions aux montréalités du jour, dès l'aube québécoise, sont très limités. À court terme, sans une profonde révolution individuel et collective, un leurre.
J'irai de mes propositions.
- La première, le péage sur toutes les voies d'accès à l'Île de Montréal pour les automobilistes. Genre 10$, pour aller se virer sur l'île. S'y stationner, le double des tarifs actuels.- La seconde, prioriser sur les voies d'accès à Montréal, le transport des marchandises et le transport en commun. Bien sûr, sans péage.
-Les trains de banlieues, le métro et les bus dans le 450 et le 514 à demi tarif pour ceux qui s'abonnent aux mensualités.
-Les stationnements réservés pour le transport en commun en banlieue seront à tarif réduit. Auto-suffisant en rapport avec l'entretien quotidien.
-Limiter les sorties de la ville à une voie avec péage, genre 5$.
-Exécuter les réparations sur les ponts et sur toutes les infrastructures de la région en priorisant celles de Dorval.
-Les péages s'ajouteraient à un fond réservé aux travaux sur les voies urbaines montréalaises, en priorisant les grands artères.
-Mettre sur pied un comité provincial de citoyens qui verrait à la mise sur pied d'un transport en commun rapide.
Avis aux intéressés ; discutez entre vous des différentes avenues de solutions, ce ne sont que des propositions, un point de départ afin de dicter aux élus, vos priorités citoyennes.
vendredi 5 août 2011
Une Cathédrale... "clic"
Ce lieu physique et de culte appartient à tout un diocèse. L'endroit occupe un district paroissial, le plus populeux du diocèse de Chicoutimi, quinze milles résidences. La Cathédrale Saint-François-Xavier contient toute une histoire, une architecture que des spécialistes, mieux placés que moi, peuvent définir.
La photo que j'ai choisi symbolise le regard que l'on apporte à la bâtisse et surtout à l'institution. De même, les gens ne réalisent pas l'ampleur de ce joyaux. Les gens ne la voient plus. Tous ceux que je connais, qui entrent dans cette enceinte, en sont éblouis.
Moi itou, je suis éblouis.
Les difficultés financières que la Fabrique éprouve sont importantes, tant les besoins sont majeurs. La rénover, nécessite des efforts soutenus de la part de particulier, souvent de personnages influents.
Pourtant, ses paroissiens, les brebis d'antan, l'ignorent sauf en temps de fêtes. Je crois que le problème est là. La désaffection génère ses conséquences. On aura beau initier des campagnes financières ponctuelles, interpeler les différents gouvernements, la solution appartient aux paroissiens en grande partie.
Perso, je m'y rends souvent le dimanche. Jamais en ayant en tête de participer à sa colonne revenu. Je donne, mais mon premier geste est d'un autre niveau. Voilà, j'ai la conviction de posséder, plus qu'une histoire de joyaux, une Joie.
jeudi 4 août 2011
Faire mieux avec moins
mardi 2 août 2011
On développe mais on entretient pas...
On annonce, à grand frais, la construction d'une route diamantaire. Cette route donnera à l'industrie minière des facilités d'exploitation ; de Chibougamau aux monts Otish, 268 km. Ce coin de pays contient des gisements de diamants, et, par hasard, d'uranium.
Pendant ce temps, le coin le plus populeux de ce même pays, la métropole, est oublié. D'ailleurs, tous les rapports le confirment. Mieux, l'observation de Monsieur Richard Bergeron, second chef d'opposition, me semble approprié dans les circonstances ; « on développe et on oublie d'entretenir adéquatement ».
Le gouvernement de Jean Charest, d'une voix rassurante le dimanche, tombe, le lundi, dans un laxisme tel un ivrogne invétéré envahi d'une manipulation éthylique sous-jacente. Les Charest, sur la planète des décideurs, prennent vraiment les citoyens pour des clochards insouciants.
Des clochards incapables de s'organiser dans la cohérence. Des clochards inaptes à juger de ce qui est bon et moins bon. Des clochards absorbés d'activités épicuriennes repoussant les responsabilités citoyennes.
Si les citoyens désiraient vraiment une enquête "élargie" dans la construction, elle serait mise sur pied. Non, les citoyens sont trop occupés à gagner du fric de préférence et confier à d'autres, leurs biens.