Maintenant que plus personne n'en parle ou presque, je me lance.
Pas que mon opinion changera le portrait global du phénomène, non, mais un grain de sel dans la salade médiatique, la César.
Voyez-vous, son retrait officiel du jeu, au Tiger, donnera au pendule de la renommée, de la gloire et de l'abondance, un axe moribond. Le grand perdant, c'est le sport, ce n'est pas lui. On aura beau dire ici et là, que le tapis lui glisse sous des crampons crottés, laissez-moi rire.
En admettant que son guide médiatique a failli à la tâche en l'éclairant pour le mieux, soit de dire toute et rien que la vérité, le meilleur golfeur de la planète subtilise à la PGA, l'auditoire captif du Grand Noire au caractère flamboyant. Cette auditoire représente les millions espérés par tous les canaux spécialisés ou non du sport professionnel et même au-delà.
Sa pause actuelle lui permettra de bien placer sa vie et la pub opportuniste, à sa place, en rapport avec sa profession quasi ludique, les rondes à 18 trous. La rançon de son prestige aura eu raison de Tiger Woods, pour une saison, peut-être moins.
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