Milles citoyens de Sept-Îles sortent et marchent dans la rue pour mieux rejeter le nucléaire. En appuyant toute un collège médicale de l'endroit, les antis-uranifères s'opposent-ils tout autant aux appareils diagnostiques ?
Je ne suis pas géologue et nul en géologie. J'ai bien lu ici et là des rapports sur les métaux extraits dit radioactifs. Dans le sol, ces métaux ne laissent en surface que peu d'influence radioactive. Le problème vient du fait que l'exploration même créée la problématique. La montée du minerais et les restes occasionnent les craintes.
La compagnie Terra Ventures possèdent les droits d'exploration du gisements du lac Kachiwiss. L'analyse économique de la minière s'ajoutent aux inquiétudes. Oui, l'exploration soulève le tollé mais aussi l'exploitant. De plus, la réputation des compagnies de mines inquiètent le citoyen ordinaire.
Le moratoire soumis avec force aux Gouvernements Charrest restent sérieux. La démission possible de la vingtaine de médecins porte un coup d'éclat et les Septiliens signataires de la pétition, 5000, poussent plus loin la lutte.
Le moratoire proposé au Doc Poirier et au gouvernement Québécois devrait être pris au sérieux. Une consultation, un moment d'éclaircissement pour tous, ne peut faire ombrage à qui que ce soit. De même, l'appréciation des technologies médicales ne doit pas rendre les gens sourds, muets ou aveugles. La population doit pouvoir saisir les enjeux réels des diverses explorations, surtout dans leur cour.
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