lundi 18 août 2008
Pervez Musharraf
Le président Pakistanais avoue pas sa démission tous ses péchés inavoués. Ses nombreuses bourdes s’affichent tel un acte d’accusation. Vous n’aurez qu’à prendre connaissance de sa destitution. Son propre gouvernement le laisse pourtant fuir le pays, chez les Saoudiens. Certains avouent leurs inquiétudes pour la suite corruptible. Deux prétendants auraient déjà été reconnus de corruption, puis absouts. Effectivement, Ali Zardari et Nawaz Sharif s’amènent afin de guider ce peuple aux prises avec des difficultés économiques et sociales irrésolus jusqu’à ce jour. Son discours de démission, entendu ce matin, n’apporte aucune lumière sur les faits tant qu’à sa destitution. L’enquête suite à la mort de Bhutto ne nous aura appris que peu de chose. Le décès du chauffeur, de la première dame, assassinée le mois dernier, tend à penser que le secret restera occulter.
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