samedi 16 août 2008

Chick lit ou Arlequin…

Ce type de roman, de nos jours, attirent les lectrices. Les films aussi, style Sexe and the City, occupent des heures de détente bien mérité. Au fait, rien n’interdit de rêver. Vous avez aussi ces jours-ci, le tapis rouge du centre Bell, le soir juste avant le show de Céline ; que d’émotions. A mon époque, les romans de la collection Arlequin garnissaient les étagères. La culture évolue et me donne l’occasion d’évoquer l’olympisme moderne, cet autre évènement plus que culturel, la créature d’une aristocratie hautement politique. Mais bon, il faut ce qu’il faut…

En attendant, CD saura charmer la terre entière même si je n’en suis pas. Les romans ne sont pas ma tasse de thé, c’est ainsi. J’aurai lu John Irving, une fiction légendaire, et après. Je regarde tous les jours les prouesses athlétiques. Sans tout saisir, force est d’admettre que certains ont la forme et d’autres la conservent. Saviez-vous qu’une cinquantaine d’employés de Radio-Canada se retrouvaient à l’ombre de ce pays aux milles infamies ?

Pendant tout ce temps, la Géorgie poursuit la Russie taché de sang. Les guerres étatsuniennes s’éternisent sans faire de vainqueur sauf dans la piscine chinoise et sur les pistes rougeâtres. L’environnement du globe se meurt sous les promesses longlong terme des chefs du monde ; cinquante an, imaginez. Je ne peux laisser filer la crise alimentaire, qui n’en est qu’au premier éclatement. Les Palestiniens et autres spécimens de l’humanité sous la férule de dominations étrangères et raciales. Alors excusez-moi, je dois cesser ce billet, car le pré-camp d’entraînement de mon équipe favorite débute.

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