samedi 2 mai 2015

Ostérité ! (suite)

Je le sais, je le sais, mais aujourd'hui je suis réfractaire à toutes ces manifs presque inutiles.

En ce 1er mai des travailleurs, disons internationalement festifs, j'ai des questionnements à l'égard de nos organisations syndicales.   Tous incluent.

Je donne un exemple parfait de nos paradoxes généralisés.  C'est que, je regarde la police qui dresse la clôture d'autorité lors de ces manifs de notre Fête des Travailleurs à nous chez la Belle

Est-ce assez incongru à votre goût ?


Autres choses. Avec toutes ces mesures budgétaires, la loi 20 et autres mammouth du genre, les organisations syndicales perdraient-elles des cotisations ?  Seraient-elles, elles aussi, soumises à une restructuration, à une rationalisation et à des coupes ?  



Autres choses ?  La Fête des Travailleurs n'a rien à voir avec le système politique.  Oui, avec la dignité et la reconnaissance mais pas aux dépends de ceux qui travaillent.  De ceux qui gagnent leurs croûtes.

C'est certain que l'austérité infligé aux populations restent une solution politique.  Contestable ?  Tout est contestable.

Et bien qu'elle soit une solution afin de juguler les finances publiques, et qu'elle ne soit pas la seule envisageable, les élus peuvent l'imposer ?  Et bien oui. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire