Oui, vive les vacances. Ce moment de grande liberté devrait être apprécié de la plupart, sinon de la grande grande majorité des travailleurs et des vacanciers en général.
Je me rappelle étudiant, même un peu avant d'en être un, quand ça arrivait, j'tais épris d'une joie visible. Tellement. Avec ma cousine Renée, on imaginait des aventures incroyablement imaginaires. Mais non, pas celle que l'on pourrait croire. J'exclus des plus audacieuses aux plus brèves.
Me voici aujourd'hui au XXIème, passé la soixantaine de quatre années déjà, en vacances. Les gens qui me connaissent vous le diront, Alain, y vient jamais dehors... Yé platt !
J'en arrive à me le demander ce matin, et ce, sans culpabilité. Ce mot lâché peut en surprendre. Pourtant, le premier vocable qui m'est venu est amer, ensuite amertume. Écoutez, je me cherche un alibi, vous saisissez.
C'est que cette année, je me suis mis dans la tête, une joie visible. Vous me direz, y retourne en enfance. Une sorte de retour à l'enfance ? Possible, bien que je l'ai toujours été. Un indice ? Plus créatrice que dans le temps, tout un chantier. Même en vacances.
Allez amusez-vous bande de chanceux !
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