Les parties en aprem, j'aime pas. Mais bon, on dit que pour les revenus aux états financiers, c'est importants.
J'ai bien aimé cette partie sans savoir si les onze cents partisans ont aimés eux aussi.
Peu m'importe, le jeune Jérémy Bouchard a continué de m'impressionné. Tellement, je lui donne la première étoile. Qu'il soit en désavantage, en surnombre, je vous le dis en toute circonstance, ce jeune est intelligent avec ou sans la rondelle. Avec elle, c'est un virtuose.
Ensuite Provencher (27), pour la totale. Ce vétéran a tout ce qu'il faut pour le match gagnant car il déteste perdre. Malgré sa taille, il se comporte comme un gros, plus gros que lui. Voilà, c'est un joueur courageux.
Bosch, je le place important dans le match. Ce que j'apprécie de lui, c'est la justesse de son jugement. Le chef n'était pas obligé d'envoyer Blackburn vers la fin. Le coach l'a fait pour le rendre meilleur, le jeune a réalisé ce voeux.
En envoyant Beaupré (4 secondes) sur Couette en mise en jeu, le Voltigeur numéro 17 s'est calmé suffisamment, pour faire de la place au talent de Liamkin,
Je ne sais que dira le chef à son ailier d'expérience Gobeil, qui prend la mauvaise habitude de se sortir des matchs. Le jeune devra apprendre à s'exprimer sans faire payer l'équipe entière de son absence. À mon humble avis, Tom Gobeil sera déterminant, à lui de rester centrer sur ce qu'il fait de mieux par ses présences physiques.
La venue de Nicolas Roy se révèle un supplément inattendu. Pour les joueurs déjà inscrit dans un rôle, ils devront être à la hauteur, car le longiligne ailier ne frime pas. Qu'on le place dans toutes les situations, il performera vite vite...
Mes trios sont :
Hudon, Bouchard et Provencher.
Sylvestre, Dauphin et
Tremblay, Boutet, Gobeil et Roy
Carignan, Lépine et Gignac...
Ce qui place Beaupré en appui...
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