Dans la CLASSE, nous avons-là plusieurs cellules. Celles-ci sont indépendantes et autonomes.
Exemple : Adolf Nadeau-Dubois
Autre exemple. La cellule CUL-DE-SAC existe pour nuire à la cité et son économie. Cette cellule ne veut pas faire sauter la cité. Non, ce groupuscule agit en n'ignorant pas sa modeste contribution. Somme toute, la cellule CUL-DE-SAC ose faire payer à la cité ce qu'Elle est, une cage à troupeau.
Les effets collatéraux sont bien entendu multiples, mais surtout économique. La cellule CUL-DE-SAC n'oublie pas aussi la contribution bien involontaire du citoyen(ne).
Suite à ce geste révolutionnaire, le citoyen(ne) ordinaire a vu une autre cellule de la CLASSE. La cellule MANIF a surgi de nul part en plein centre ville encore pour étourdir la cité. Des jeunes étudiantes cartonnées du rouge circulent en trottinant, parfois en courant dans la cité pour écoeurer le citoyen(ne) affairé(e).
C'est ainsi une révolution. Un tas de petites actions dictés. Gare à la montée des actions terrorisantes...
En guise de réponse :
RépondreSupprimerLe monsieur à la fin de la vidéo n'a pas l'air d'être de votre avis. Serait-il lui aussi mêlé dans la conspiration-gaucho-obscurantiste, dont les puissants leaders sont des étudiants syndicats ? Dont le projet final serait de mettre en place une dictature ?
http://www.youtube.com/watch?v=LRqUONe_aAI
Le journaleux ne cherche t-il pas de présenter son ''reportage'' dans son sens ?
Et les autres personnes interrogées ont plutôt l'air calmes et compréhensives. Sont-ils aussi dans le coup ?
Je vais vous donner le même conseil que vous m'aviez donné dimanche dernier : détendez-vous Alain. Oui détendez-vous car la peur est mauvaise conseillère...
Grég.
Greg, la vidéo, de quel vidéo parles-tu ?
RépondreSupprimerOh oh ! M'a suis trompé de lien ! Ha ha !
RépondreSupprimerJe vous donne le bon maintenant :
http://www.youtube.com/watch?v=RlBcI4S51Fk&sns=fb
Greg, je ne suis pas né de la dernière pluie. J'en ai vu des fanfarons à vélo, qui font semblant. Tu voies Greg le terrorisme a plusieurs couleur. Pas besoin du rouge et des twins pour dénicher le terrorisme.
RépondreSupprimerLe gouvernement ne fait pas du terrorisme, il gouverne même si je suis en sa défaveur Greg. Là, on frôle le désastre et la bagarre. L'émeute entre les rouge et les vert, les citoyens prolétaires.
Lundi, on se ramasse face aux portes des universités avec des verts qui voudraient recevoir des cours et des rouges hors la loi. Imagine un vert qui se fait reprocher d'être un individualiste par deux rouge et qui se mettent à le tabasser de colère. on est rendu là. Le contraire se peut.
Oui, Larocque essaie le vox pop, bredouille mais voilà qu'un groupe de la CLASSE se présente. Il sait lui qui a mis la fumigène, c'est un orchestre tout ça, cohésion et terreur.
Que vous ne soyez pas né de la dernière pluie, je n'en doute pas une seconde. Mais vous voilà maintenant synchrone avec le vocabulaire médiatique Alain. Vous avez lâcher ou emprunter le même mot : terrorisme. Pourquoi ? Parce que le métro de Montréal a été bloqué ? Le blocage économique est couramment utilisé pour faire pression sur le gouvernement. Et je ne dis pas que j'approuve l'action. Pas que je la réprimande, mais que stratégiquement parlant, c'est inefficace. Il fallait la faire ailleurs et autrement. Mais de là à parler de terrorisme ! Ici ce genre de pratique est courante. Et personne n'a jamais eu l'audace d'appeler ça du terrorisme... Les gens ne comprendraient pas.
RépondreSupprimerEn politique, en ce qui concerne la politique institutionnalisée, le terrorisme peut être un outil de manipulation dont peut se saisir un gouvernement afin de créer un sentiment d’insécurité qui justifierait ensuite des mesures de restrictions des libertés individuelles et collectives, ou pour arriver à une fin politique. En l’occurrence ici pour gagner le bras de fer mené avec les étudiants grévistes.
Son utilisation est ici abusive, et est servie comme moyen dans une lutte politique. Et comme je ne suis pas né de la dernière pluie non plus, je puis vous dire que ce que vous pensez être du terrorisme n'en est pas réellement. En clair les conditions objectives ne sont pas en place pour en conclure à du terrorisme.