samedi 24 mars 2012
Mohamed Merah
Algérien puis Français.
Ce qu'il a fait est ignoble. D'abord, un soldat, puis, deux.
Ensuite, à l'entrée d'un lycée juif, le motard tire un prof, deux enfants et une petite de 3 ans. Le meurtrier entre même à l'intérieur du collège pour achever l'ignominie sanglante.
On dit que Merah a agi par vengeance, tout en se réjouissant, au final, d'avoir mis la France à genoux.
Les Palestiniens morts par les atrocités Israéliennes illustraient la haine. L'inutile haine qui étale ses suites accablantes. Les êtres sacrifiés laissent de véritables victimes, ceux qui restent, meurtries de toutes les façons.
Les constats nous conduisent à la réflexion, à mieux comprendre. La France n'est pas la seule à vivre de telles atrocités. Les juifs non plus. Un jeune homme exécute ses plans scabreux ; ne voyez-vous pas là une répétition. Du déjà-vu ?
Certains plaideront la responsabilisation impeccable et directe. D'autres, chercheront à expliquer qu'est-ce qui pousse autant à la haine ? Les deux méritent l'intelligence humaine.
Ne voyez pas là la religion. Voyons-y plutôt la délinquance à son extrême, celle d'un marginal.
Toutes les tueries se ressemblent mais on ne s'y fait jamais.
Enfin, les tueurs fous périssent tous d'ailleurs ou presque.
"Celui qui vit par l'épée périra par l'épée"
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