Ce matin, au chant d'un coq radio, en rafale, j'ai entendu ces trois compositeurs.
J'essaie, comme ceux-là et d'autres, d'imager les situations, les évènements avec des mots juxtaposés les uns aux autres, sans toutefois y parvenir. Certes, les lecteurs comprendront le fond.
Prenez ces 3 auteurs. Le premier chante, "jusqu'où l'eau est profonde", le second, "des trous dans les bas" et le dernier, de Fort Rêveur, "les ours blancs". Le plus joli de l'affaire, la langue et la juxtaposition. Oui, l'étayage me semble parfait.
Je lis bien d'autres choses, comme JJB. Hier, voyez, je vous citais Foglia, un autre juxtaposant avec tant d'art, sa réalité. J'avoue, je les envie.
Mais vous saurez que je ne fais pas que ça. En premier lieu, je les entends et leurs accorde, dans l'ordre et le désordre, du temps de ma compréhension des choses. Ah oui, qu'ils racontent tellement bien.
Je me dis, à chaque fois que je tape, bien qu'enchevêtrer, voilà, ce qui est dit est dit. Dans cette ordre d'idée, vous saviez que je n'achève pas un livre commencé. Au fait, je l'ai commencé en 2005, peut-être avant, peu importe. Je ne sais pas comment le terminer même si j'en connais l'issue.
Son échéance approche car je m'en avais fixé une. C'est qu'il marque une époque, un tournant pathétique, pour le moins. J'avoue qu'il me faut courage et détermination pour l'achever. Je crois aussi posséder ce type de, pas de courage, non, d'audace.
charlelie chante les ours blancs sur RTL par rtl-fr
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