Routes et autres pécadilles

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En haut, l'entrée ouest de l'autoroute 720.

En bas, l'autoroute 720 rue Hotel de Ville.

Intro...

Ce dimanche, un peu après le début de la messe de 9 heures, une structure plafond, de 20 mètres par 20 mètres, juste ça, s'est affaissée sur la chaussée. Ce bout de plafond, baptisée paralume, est l'un des 50 panneaux, en section, de la rue Guy à l'ouest à l'est, d'Amherst.

Chaque jour, ces voies reçoivent plus de 100 milles véhicules. De plus, le Tunnel Ville-Marie est épié scrupuleusement par le Ministère des Transports. Avouons que c'est pas très rassurant, même scruter de près et on en conviendra, l'erreur est humaine...

Le Ministre Hamad supporte dans son aveu et je cite ; « toutes les infrastructures au Québec sont sécuritaires, c'est que celle-ci, subissait des améliorations... Question ; Aurait-il dû fermer la 720 pendant les réparations ?

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Il est urgent que les gens se mobilisent, manifestent. Comme manifestation, l'emploie prioritaire du transport en commun, du vélo, de la marche. Tous les moyens deviendraient pertinents.

Vacances et cocasseries...

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Le 98,3, pour les vacances de sa ténor Madame Myriam Ségal, ont invité en renfort une autre méga, Jocelyne Cazin. Et la dame du 450 est venu à la demande d'Yves Hébert en région, parler, golfer, errer et comme tout bon métropolitain, schouenner, dès 6 heures le matin.

Pour m'amuser, car je me lève tôt, j'ai participé à l'invitation de Madame. J'ai tardé toute la semaine et enfin, j'ai fini par emballer un ptit dialogue que voici.

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Dialogue en prenant un café avec un fond sonore du 98,3...

Le cadet : « Torvis, est ben chouenneuse la Cazin. »

L’autre : « Elle l’est peut-être, en tous cas est pas brouteuse, calvèze. »

Le cadet : « Viargette, les montréalais sont comme ça. »

L’autre : « Ptit-juif, tu chouennes asteure… »

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J'ai participé et gagné bien que j'ignorais le lot. Je suis allé le récupéré cet aprem, le bouquin d'une dame. Oui, encore une femme. Cette fois-ci, une Cheffe, Diane Tremblay connu internationalement.

Cette Cheffe avec lettre de noblesse s'il vous plaît, " Le Privilège ". Son livre est énorme, d'une qualité gastronomique et des couleurs, disons nourrissante...

Vous pouvez, si vous le désirez, constater de "visu" la lecture d'une victoire amusante ici et l'humeur matinal du 98,3.

Aussi, vous remarquerez que dans l'humeur relu, la lectrice omet "Ptit-juif" comme si ce jeu de mots se voulait, péjoratif ? On identifie bien-là le 450. En attendant, j'ai bien apprécié le discours de la Cazin !

Encore un ti-peu de Turcotte...

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J'ironise à peine. Une chose que tout le monde semble oublier dans ce tollé de protestations. L'hiver dernier, après de longues négos, les procureurs en rogne ont piquetés avec Leblanc en tête. Le président des avocats de la couronne a aussi dit ceci : « selon l'association, il manque au moins 200 procureurs de la Couronne, des centaines de recherchistes et de secrétaires pour être en mesure de donner un service adéquat à la population ».

Se pourrait-il que les avocates de la couronne ont manqué de ressources ? Livrer duel avec deux maîtres et des moyens extraordinaires, ça épuise. Un de mes amis Facebook, Jean-Marie Tremblay élaborait à ce propos dans le Quotidien tant qu'aux moyens dont disposent certains individus.

Des individus bien nantis capables de s'acquitter d'une défense juste et équitable ; Turcotte + deux maîtres défenseurs. Ce qui fait dire à ce contact Facebook « les gens devraient manifester pour une meilleure accessibilité à la justice ». De plus, si l'un des deux judiciaires est pauvre et ou épuisé, où s'en va la justice ?

Taliban ?

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Le maire de Kandahar vient d'être éliminé. On dit, selon les autorités policières en place, que Ghulam Haidar Hameedi, le maire, est mort lors d'un attentat suicide. De plus, elle est revendiqué par les Talibans, vous savez, l'Axe du Mal...

En deux semaines, ça fait deux proches du président Karzaï qui sont exclus de la carte. Le demi-frère d'abord, et aujourd'hui, un maire. Assisterons-nous à un lynchage généralisé dans toute la province. Fort possiblement. Avec des revenus de moins de 2 piastres par jour, pour 100 piastres, un individu avec une petite famille, imaginez un peu ?

Vous ne le savez peut-être pas, mais la province de Kandahar contient près d'un millions d'habitants. Vous devez aussi savoir que l'Afghanistan sombre de plus en plus dans la corruption. Ce l'était déjà du temps des Talibans. Même que le Président Karzaï, oui, le président, serait lui-aussi, soupçonné d'avoir détourné des milliards d'afghanis.

On peut toujours dire que ce sont des Talibans. On s'en tape. Dans cette ère de fabrication médiatique, on tue des individus sans divulgation de preuves, on torture qui on veut ou on tait ce qu'on veut bien taire. Je sais une chose, notre présence en Afghanistan, ici ou là, c'est de la frime. C'est malheureux mais c'est comme ça.

Ah oui, on rapporte, de façon plus ou moins officiel, que des négos se déroulent avec les Talibans. De toute manière, les gens par ici s'en balancent, autant que ce sont des arabes, des mulsulmans, des intégristes ou autres spécimens. En attendant la suite, jouons aux échecs avec des vrais soldats.

Média paresseux.

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Les derniers attentats commis en Norvège démontrent à quel point l'être humain peut dévaster. Peu après, plusieurs médias citaient les mouvements d'extrême-droite-chrétien. Je n'accepte pas cette empressement hasardeuse. Le forcené qui a commis ces atrocités, entrainé par sa folie haineuse, devrait être l'accusé.

Si des groupes devenaient par la suite compromis, qu'on les soumettent à l'examen. En attendant, cibler de suite la chrétienté, c'est du sensationnalisme facile et jaune. Comme chrétien, je m'oppose à une telle utilisation et comme citoyen, à une allusion aussi basse.

Une Fabuleuse Histoire. "clic" FHR

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Pour une première, j'ai assisté, avec mon fils ainé et sa petite famille, à la Fabuleuse Histoire d'un Royaume. J'espérais un jour le voir avec les deux petits enfants de mon garçon. J'avais l'impression que ce spectacle, surtout familial, laisserait une empreinte aux miens, en exil. Je suis comblé, ils n'ont pas dormi.

Les nombreuses fresques étalent une part de l'histoire Saguenéenne dans un mouvement incessant et dynamique. Voir tant d'acteurs, tous des bénévoles, personnifier ces milliers d'anciens. À cheval, en char, en voiture, du haut des airs ou en fond de scène, avec une aussi grande cohésion, sur plus de deux heures, cela tient du prodige. Exceptionnel !

À travers tous les tableaux, j'ai vu des correspondances historiques mais aussi de la fantasmagorie théâtrale. L'aréna transformé en passant, c'est bien pensé. Parenthèse, je ne réserverai jamais plus de billets par téléphone. Ceci dit, le confort permet d'accepter les petites longueurs facilement.

Ah oui, les proches de la FHR, ce soir-là, honoraient l'esprit créatrice de Ghislain Bouchard. À mon avis, permettre à cette histoire scénique de vivre tant d'années, plus de 20 ans, fallait-il être un artiste singulier ?

J'ai observé quelques fois l'homme ; le metteur en scène d'abord, celui "des Belles Soeurs" de Michel Tremblay et celui dans la vie de tous les jours. Pour tout dire, je ne le connaissais pas intimement sauf, de réputation. Je vous le confirme, il ne faisait pas mentir ces ouï-dires. Homme entier et total, sans détour et incisif.

L'hommage aura duré une trentaine de minutes. Ce sera dans ce moment d'éloge que j'ai saisi le Bouchard rêveur, un genre de fou audacieux et déterminé. Qui, comme moi, n'aurait pas nourri de rêve ? J'abandonne souvent par peur de tout ou de rien. En ce moment, je propose un projet et je fonce. Un jour, vous en entendrez parler.

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CHARLELIE COUTURE - MEME A SPIELBERG - par THE-GRAND-WAZOO

Mes Bleus... "clic"

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Depuis 2000, mes Bleus évoluent dans le circuit de la Belle (Belle Province) selon les gestionnaires actuels. À cette époque, les Sags allaient nul part, style vagabond, à la va-comme-je-te-pousse, vous voyez le genre. Tellement, les propriétaires de l'époque envisageaient un déménagement.

La ville s'assura alors les droits de la franchise. Les élus savaient l'importance d'une équipe junior, à ce chapitre, presqu'une institution. Le Conseil de ville en attribue aussitôt au groupe actuel sa gestion. Le clan Carbonneau et des hommes d'affaire s'attèlent à la tâche puis redonnent vie aux Bleus.

Voyez les assistances en saison depuis :

2000-01 : 59158 90%
2001-02 : 90091 52%
2002-03 : 78330 -13%
2003-04 : 114755 47%
2004-05 : 155830 36%
2005-06 : 167795 8%
2006-07 : 145519 -13%
2007-08 : 148516 2%
2008-09 : 133910 -10%
2009-10 : 108473 -20%
2010-11 : 107900 -X%

L'adage dit que toute bonne chose a une fin. La grogne s'installe chez la clientèle faute de performances sur glace. Durant la dernière année, deux mauvaises nouvelles affligent l'entourage des Sags ; décès de l'un des administrateurs, le très apprécié Gervais Munger suivi en saison, du renvoi de l'instructeur-chef et directeur-gérant, Richard martel.

L'année 2011-12 s'annonce positive avec de nombreuses bonnes nouvelles. L'arrivée du premier choix, 6 ème au total, le très prometteurs Jérémy Grégoire de même que le choix euro, le Tchek Lukas Sedlak. Ensuite l'annonce de Marc Fortier en tant que directeur-gérant et pour suivre, la nomination de Marc-Étienne Hubert derrière le banc. Fini les incertitudes, un succès se profile à l'horizon.

Le groupe "Gestion Sport Sags" entame la dernière année de l'entente avec la ville. Dans l'imbroglio "ville de Québec et du Groupe Québécor", ville Saguenay songe aller en appel d'offre pour se conformer aux règles des cités et villes. S'ils agissaient ainsi, les décideurs municipaux élimineraient tout soupçon de conflits d'intérêt.

Les pervers qui sont prêtres.

J'écoutais une déclaration d'un pédophile suite à son incarcération. Il niait tout remord autant dans son discours qu'au moment de la lecture de la décision du juge. La perversité se situe-là car il ne reconnaissait pas la gravité de son geste.

Les prêtres pervers sont aussi comme ça. Ce qui m'indigne, c'est qu'il soit prêtre ou membres du clergé. Je connais de nombreux clercs dans mes amis et j'ai la certitude que ce sont des gens droits. Vrai que je ne connais pas leurs vies intimes cependant ils ont mon amitié.

Sans ça, que serait l'amitié ?

Saguenay informe... "clic"

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Les réseaux sociaux remplissent un rôle sans précédent. Aucun politicien ne saura prédire ni saisir l'influence positive ou négative de ces réseaux. Actuellement, les décideurs de ville Saguenay tentent de s'accaparer un marché de l'information par Ville en action.com. Pour les citoyens, cette avenue se veut une alternative et pour les élus, un effort d'informer car la concurrence est forte.

Prenez le ptit nouveau sur Facebook, "Collectif Citoyens pour la démocratie à Saguenay" initié au printemps 2010. Les citoyens associés à cette page sont de farouches opposants au Conseil de Ville Saguenay. J'ai aussi le mien, moins fréquenté sûrement. Mais bon, ces deux pages offrent autres choses que celui des élus.

Le Quotidien et Radio-Canada offrent aussi des infos sans complaisance. Est-ce souhaité, je le crois fermement. Tant et aussi longtemps que l'analyse apporte de la diversité et des nuances appropriés, j'en suis.

IQT et wallmachin c'est pareil.

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Ici, au Québec ou dans la Belle, lorsqu'un groupe de travailleurs est accrédité, il est aussitôt reconnu légitimement. Pourquoi est-ce ainsi ? Historique ? Si on veut.

Écoutez, nul besoin de remonter bien loin au siècle dernier, non non. L'union devint nécessaire pour instaurer pacifiquement un contre-poids au capitalisme écervelé. Il le fallait car des injustices et des abus de toutes sortes se produisaient. Lorsque la santé et même la vie d'un travailleur frôlait la mort subite ou le péril, il devenait urgent d'établir l'équilibre des forces en présence.

J'entends de mes collègues, les plus jeunes surtout, remettre en question la Formule Rand. Ils ne le diront pas comme ça. Ils diront, "pourquoi je paie une cotisation si je ne souhaite pas être dans l'union."

Chez les travailleurs plus âgés, on remet radicalement en question la nécessité des syndicats. Pour eux, les unions restent une structure plus ou moins mafieuse. Je conçois, par les temps qui courent, que l'on puisse accoler les unions à toutes sortes de préjugés.

Sont-ils seuls pour valser ?

Ceci dit, calmons-nous. La mise à pied massive tombé chez IQT hier, est inacceptable. C'est ce qu'on appelle le pouvoir sauvage de l'employeur. La loi au Code du Travail est explicite. Grosso modo, on ne peut exclure unilatéralement une accréditation validée.

Certains sauvages ou wallmachintruc vous diront que si, on peut. On met la clé dans la serrure et vlan ! Le tour est joué. On peut aussi dire à un groupe d'individus, un vendredi matin de juillet, " à matin, c'est fini, vous n'avez plus d'emploi, ramassez vos effets personnels et allez-vous en chez-vous..."

Ceci dit, recalmons-nous.

Je n'ignore pas tous les abus de cette loi. Le pouvoir des unions a aussi ces mauvais côtés. Sont-ils nécessaires ? Bien sûr que non. mais tout ça, ça se discute. Pas de la manière désinvolte et sauvage qu'ont certaines entreprises qui se croient au-dessus de toutes les consignes civilisées.

De même, on ne peut pas non plus assimiler toutes les incongruités aux travailleurs seulement. Le milieu du travail permet tous les arrangements civilisés, à nous d'y voir et calmement, tous ensemble, d'organiser les milieux du travail.

Voyagement de Léon ? "clic"

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Ce matin, très tôt, j'ai allumé mon sony, placé mes écouteurs, ensuite un furetage. Là, je me suis arrêté sur Martin Léon, le poète voyageur. J'ai placé au titre son lien web. Écoutez vous aimerez sûrement.

J'ai poursuivi l'écoute de son périple musique et parole enchevêtrée et me suis levée.

Parlant voyagement, j'avoue que les miens sont multiples mais locaux. Rayon, 300km. Léon apprécie l'inconnu, l'inattendu, moi c'est pas ça. Si, un peu tout de même. Toujours un peu, non ?

La vie c'est aussi ça, non ?

Rien à voir avec ce que raconte Martin Léon. Lui, c'est de la désorientation volontaire.

Les collabos Afghans...

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Les collabos afghans, plus de 500, s'exilent au Canada. C'est ce qui s'annonce avec le changement de garde. Dsl, de mission. On les nomme aussi interprètes. Pour moi, c'est un jeu de mots qui revient au même.

À leur engagement, on leurs a fait cette promesse. Il le faut bien, aux salaires qu'ils touchaient ces afghans.

Comment je sais ça ?

Un, le ou les risques encourus. Nul besoin d'y être, c'est l'évidence.

Deux, à un tarif dérisoire, aucun interprètes Afghans ne peut se garantir une protection. J'y pense, comme ceux de l'armée, dites officielle...

Trois, comme délateurs pachtos, un nom d'emprunt dans ce bled est impensable.

Ici, ils seront pénards en purs inconnus et assistés...

Les vacances de la corruption ?

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Dans la lignée de mon dernier topo, les infras de la Belle se soumettent à une cure générale. Suite à tant d'années de torture chaud-frette-chaud-frett, sans compter toutes les charges ambulantes, comment retardés de 2 semaines, l'urgent ?

Urgent ?

Tout partout, c'est ce que l'on perçoit ; le pont peut s'écouler à tout moment. Lisez les rapports bordel de merde.

Rapports ?

Ceux que nos gouvernements veulent bien publier. C'est ça la démocratie, non ?

Ben oui !

Élu depuis peu, le clan des bleus révisent encore leurs souhaits démocrates. On s'entend que les transports, même d'Ottawa, fonctionne pas à la dernière minute. Pour eux, depuis des lunes, le Champlain, c'est un incontournable.

Lebel* ; "dis pu de connerie !" C'est incontournabe. Même en éludant la panique, tu la multiplie comme un ambulancier, plein feu-son, au tournant d'une artère bouchonnée...

Mais, il y a toujours un mais ; " les vacances, c'est sacré ; allez ! partez ! "

* N.B : Lorsque je dis Lebel, j'entends les fédéros tout garni.

Des cônes ou une autre patente, c'est pareil.

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Lors de ma tournée sur la 138, au retour, incontournable, je me suis tapé le ptit parc entre Sacré-Coeur et Ste-Rose. La 172, où y passe un véhicule aux 5 minutes. Regardez ce qu'il y avait à mi-chemin ; un lumière pas de trafic ! Et oui.

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D'accord, j'me plains pour un ptit 60 secondes et des plumes. Vrai, qu'en se comparant on se console. Je voie les citoyens du 450 et du 514 emprunter les ponts et artères de la métropole pour entrer travailler et oui, j'me console.

Au souper, j'ai regardé les incongruités entourant Dorval. Tous les signaux ne sont que des parures, comme ma lumière rouge de 140 secondes sur la 172. Les prototypes humains à l'emploi de la voirien abusent du bon stock afin d'élaborer toutes les stratégies ambulantes et fixes.

Les 2 D. (De Belleval - Deschênes)

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Les deux D (De Belleval et Miville-Deschênes) ont des ressources sûres pour s'opposer ainsi. Je les qualifierais de féroce bien qu'impopulaire ; du moins dans la capitale. Néanmoins, les 2 D se sont attribués le dossier de l'entente et de l'amphithéâtre, tel que proposé.

Exige-t-elle d'autres appuis ?

Les 2 D invitent la population à contribuer pour ce combat, d'investir pour la victoire. Le milieu des affaires, lui, me semblent bien silencieux à cette égard. Nous savons tous que l'entente Péladeau-Labeaume comporte des aléas sans précédents, sinon elle aurait été conduite par le gouvernement (loi 204). Ceci dit, elle révolte les 2 D.

Les 2 D sont-ils seuls à se réjouir des délais autour de la mise qualifiée, d'urgente ?

Je ne réside pas à Québec, je lis ici et là les compte-rendus comme tout le monde. Mis à part, les 2 D et l'opposition municipale (fidèle des 2 D) nulle voix. L'implication de Power Corp avec les Remparts de Québec a attiré mon attention. Je la trouve pas innocente en regard du retour des ex-Nordiques.

Comme stratégie, je ne saurais expliquer à la joute, mais c'est du sport. M. Desmarais plaide pour une implication sociale et dans la jeunesse et... Écoutez ce bout de conférence et concluez :

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J'aime bien le look pas innocent des 3 partenaires de la famille des Remparts. C'est aussi inclus à la parti de la stratégie plutôt détachée. En fait, le nouveau dit lui-même qu'il est fan du Canadien de Montréal et les 2 D, dit-on, déteste le hockey.

Confusion ? PKP a lui aussi un siège dans la Q maintenant. Je sais c'est une coïncidence...

Bombardier mitraille DSK !

J'ai écouté plusieurs entrevues de Madame Bombardier touchant l'affaire DSK. Écoutez, je n'en reviens pas encore. Elle s'indigne du traitement français adressé à la supposée victime mais ne dis rien ou à peu près de la présomption d'innocence.

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Denise Bombardier par franceinter

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Le cirque qu'a vécu le prestigieux DSK mérite un peu plus d'attention. Que ce soit un macho, je n'en sais rien, mais de subir une telle apparence de justice, cela devrait tout autant indigner la femme en délire. Pourtant rien, nul dubitatif.

Je me souviens de l'affaire Angelil accusé de viol. Vous aussi non ? Plus tard, on a su la vérité bien qu'il avait dû, hors cour, s'entendre et étendre le fric. Madame Bombardier était où alors ? Non, vrai que les circonstances de la promo d'un livre n'y était pas.

Jocelyne Cazin avec elle, c'est comme un potage trop épicé. Lorsque, dans un délire verbal, Madame Cazin dit que "DSK s'en tire quand même facilement" avec la bénédiction de la délirante Madame Bombardier, c'est de la soupe aux fumiers, rien de plus.

Elle aura beau s'objecter et avec raison aux propos d'André Arthur, face à sa défaite électorale, je veux bien, mais de consentir au manque juridique étasunien, c'est de l'équivalence crasse.

Membres du jury.

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Dans la saga de l'affaire Turcotte, comment rester indifférent au conclusion de ce procès. J'ai bien lu ou entendu plusieurs juristes, observateurs spécialisés et des citoyens ordinaires commenter la décision finale. Les plus révoltés et les propos les plus virulents sont parvenus des citoyens ordinaires suite à cette issue, que l'on peut qualifier, d'extraordinaire.

Les onze jurés ont été forcés, par la preuve conduite, de s'entendre unanimement sur une option. Le verdict de non responsabilité criminelle leur a été soumis par le juge dans sa directive aux jurés. Rappelons ici qu'il ne doit subsister aucun doute. J'écris ce qui précède dans le but de rappeler que je n'ai aucune remarque désobligeante à adresser aux membres de ce jury.

Perso, j'ai vite soumis mon verdict avant, pendant et après le procès ; double meurtres au premier degré. Pourquoi le citoyen en arrive à ce choix ? Un, les propos de l'accusé envers son épouse et son comportement face à la séparation. À mon avis, c'est un comportement narcissique appuyé par la violence, autant par les gestes que dans le discours ; n'a-t-il pas frappé l'amant et dit à son ex qu'elle cherchait la guerre et qu'elle l'aurait. Comme préméditation, y a pas mieux.

Lorsque j'ai entendu la mère des 2 martyrs révélée, lors de son témoignage, que Guy Turcotte "a été un bon père", ça m'a scié en deux. La couronne aurait dû réagir à ce bout de phrase qui devenait pour la défense expérimentée, un atout extraordinaire. Les deux avocats n'en demandaient pas tant. Moi, je soulève la question ; comment un homme, qui refuse une séparation, peut-il être un bon père ? Sans rapport me direz-vous ? Je ne dis pas que les enfants manquaient de soin ou souffraient de maltraitance, non, mais il en faut plus pour être qualifier de bon père, lors d'une séparation par surcroît.

Je termine en disant que ce que j'entends de cette affaire me laisse encore plus dubitatif. Je me dis que la couronne a laissé-là des éléments importants. J'admets que la cause a dû meurtrir les deux avocates. À un moment donné, ont-elles eu des doutes sur la victoire ? Les avocates se sont-elles demandées si l'extrême des gestes du cardiologue ne devenait pas en soit un calcul prémédité pour mieux plaider la folie ? Lorsqu'un cardiologue souhaite mettre fin à ses jours qu'il se tape du lave-glace, ça marche mais y a mieux, selon...

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Tout compte fait, j'ai entendu un psy étaler un point de vue nouveau, comme si. Ce qui m'indique que les psys ne sont que des hommes au savoir perfectible et surtout évolutif. En conclusion, on devrait comme société, leurs accorder une opinion sans être intimidé comme individu, car nous sommes capables de bon sens et surtout responsable.

Saguenéens !!! "clic"

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Enfin, je suis comblé en tant que partisan du hockey junior. J'admets, j'étais bleus depuis un certain temps. Voilà, tout est derrière, je suis un nouveau Bleu, rajeuni disons.

L'annonce d'hier tombe enfin. D'ailleurs, on a rangé la broche à foin loin de l'amphithéâtre, au-delà du Pavillon de ...

Messieurs Michel Boivin et Gaby Asselin se sont centrés sur plusieurs dossiers. Le premier exigeait de l'audace, soit l'engagement du nouveau directeur-gérant. L'option Fortier répond à la tendance quasi générale dans la Q, jeunesse et identité. La majorité des partisans des Bleus reconnaîtront en Fortier, l'acharnement, la courtoisie et la fierté Bleue.

Les gestionnaires, en optant pour Hubert, ont démontré une reconnaissance envers le jeune chicoutimien. Oui, les chances de vaincre les démons "coach-adjoint à coach" ne pouvait arriver à un meilleur gars. Certes, on ne pourra observer ses pas de danses, mais qui sait jusqu'où il ira ? Marc-Étienne est un gars sérieux et accompli. Oui, ça ne suffira pas et il le sait. Ce qui m'encourage, moi l'amateur ; il connait bien son équipe et les autres clubs. Allez, bravo !

L'équipe que nous aurons, prend forme de plus en plus. La venue de Sedlack, que l'on dit rapide, redonne de la crédibilité à l'organisation. Vrai que ce marché est complexe d'autant que la marge d'erreurs est élevé. On a Gibson tout en haut et ce Tchec, attendons un peu.

La cerise sur le gâteau ; l'arrivée du premier choix 2011, Jérémy Grégoire. Dans le fond, le hockey junior doit illustrer l'élite en développement du hockey Canadien. Grégoire possède dit-on toutes les qualités pour en être. J'ai lu, comme plusieurs d'entre vous, l'agenda du jeune Jérémy.

Alors, je termine en espérant que le dur travail accompli par les décideurs, rapporte. Gervais inspire ses collègues car nous voyons bien là un résultat constructif.

Un ti-peu de DSK avec BHL.

Comment interpréter la libération de DSK ? Dans... par rtl-fr

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On a beau dire, ce BHL a le don de divulguer l'essentiel. Après ça, que dire de plus.

Allez, j'la ferme !

Ah pi, une autre chose. J'insiste !

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Wells, Michaud et Charlelie... "clic"

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Ce matin, au chant d'un coq radio, en rafale, j'ai entendu ces trois compositeurs.

J'essaie, comme ceux-là et d'autres, d'imager les situations, les évènements avec des mots juxtaposés les uns aux autres, sans toutefois y parvenir. Certes, les lecteurs comprendront le fond.

Prenez ces 3 auteurs. Le premier chante, "jusqu'où l'eau est profonde", le second, "des trous dans les bas" et le dernier, de Fort Rêveur, "les ours blancs". Le plus joli de l'affaire, la langue et la juxtaposition. Oui, l'étayage me semble parfait.

Je lis bien d'autres choses, comme JJB. Hier, voyez, je vous citais Foglia, un autre juxtaposant avec tant d'art, sa réalité. J'avoue, je les envie.

Mais vous saurez que je ne fais pas que ça. En premier lieu, je les entends et leurs accorde, dans l'ordre et le désordre, du temps de ma compréhension des choses. Ah oui, qu'ils racontent tellement bien.

Je me dis, à chaque fois que je tape, bien qu'enchevêtrer, voilà, ce qui est dit est dit. Dans cette ordre d'idée, vous saviez que je n'achève pas un livre commencé. Au fait, je l'ai commencé en 2005, peut-être avant, peu importe. Je ne sais pas comment le terminer même si j'en connais l'issue.

Son échéance approche car je m'en avais fixé une. C'est qu'il marque une époque, un tournant pathétique, pour le moins. J'avoue qu'il me faut courage et détermination pour l'achever. Je crois aussi posséder ce type de, pas de courage, non, d'audace.

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charlelie chante les ours blancs sur RTL par rtl-fr

TOUR 2011 ! "clic"

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J'aime regarder ce show de rouleurs, même qu'ils trichent. Prenez demain, c'est le contre par équipe, toute qu'une randonnée, 23 kilo, un challenge assuré.

Le lien "clic" pour ce jour, celui de cyberpresse avec Louis Bertrand. Mais dénicher plus franco comme celui-ci, ou alors l'officiel, ici. De toute manière, y en a plein.

Pour le lire, les subtilités qui n'ont pas nécessairement un lien direct avec le tour, c'est Pierre Foglia. Exemple, savourez son dernier topo "un petit goût de vieux", ici. Quand je lis Foglia, je cesse toute prétention au mot écriture dans mon cas.

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Ayez une petite pensée pour le courageux Hesjedal, 7ème l'an dernier.

La royauté du paraître !

De nos jours, garent à ceux qui ont l'allure douteuse ou ridicule. Même en se l'interdisant ad nauseam, n'empêche, les personnes évacuent presque tout le reste et aux premiers abords. Le presque tout s'anéantit sans distinction.

J'écoutais cette semaine le film "The King's Speech" ou "Le discours du Roi". Le bégaiement discréditait tout le potentiel dès la première hésitation du prince. Pire, toute la confiance du futur Roi disparaissait, le meilleur de l'humanité surtout.

L'Affaire DSK étale encore ce réflexe, quasi culturel, des apparences. Avant même une quelconque défense, la condamnation. Oui, ce n'est pas terminé, mais l'admission des apparences est éclatante. La tache possiblement indélébile.

Les analystes chevronnés l'expliquent par la médiatisation du sujet. Je veux bien. À mon avis, la médiatisation, c'est l'iceberg en mer. Pourtant, il ne faut jamais se fier aux apparences. Cette adage étant l'immense partie cachée, qui se dissimule parmi nos automatismes superficiels.

Inversement, les couples royaux de notre État bénéficient, comme toutes les stars de l'heure, de la béatification publique. Oui, la médiatisation y contribue mais bien plus le conte de fée. Vous savez bien, celui des apparences, de la montagne qui cache tout d'un village ou mieux, de la cité.

Voilà, je termine en soumettant un voeux bien prétentieux. Celui en rapport avec la mémoire culturelle « Je me souviens ».

Encore plus heureux.

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Notre retrait militaire s'exécute aujourd'hui et j'en suis des plus heureux. La nouvelle mission assumé par notre armée vient ternir ce grand jour, mais bon, peut-être notre gouvernement modifiera-t-il son approche ?

En supposant que l'armée Afghane viennent au Canada pour former leurs dirigeants, ça me réjouirait presque totalement. Vous savez, l'armée Afghane est un attrait pour les Talibans. Ce qui place bien entendu les formateurs de notre armée en danger.

Je crois depuis le début que ces missions sont des pièges. Les bushistes se vantaient d'avoir expulsés les Talibans avant d'envahir unilatéralement l'Irak. Ils oubliaient l'histoire guerrière Afghane. Nos dirigeants aussi.

Nos soldats reviennent sur leurs terres et qu'ils y restent. Qu'on laisse donc au Afghan le soin de leur souveraineté, même complexe. Un possible dialogue semble s'imposer avec les Talibans, en se référant aux derniers développements. J'ai écrit dialogue, imaginez ça ?

Par respect pour les sacrifices de notre armée, je n'irai pas plus loin pour l'instant.

Un sujet parmi d'autres...

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Le symbole de la monarchie d'ici, sous-estimé au Québec selon les sondages, s'évalue par son intrusion dans les affaires de l'État. Oui, la monarchie constitutionnelle canadienne, même rapatrié en 1982, me semble outrancière.

Écoutez, la monarchie anglaise trône sur les affaires de l'état. Même en décrivant ce trône comme symbolique, pourquoi l'exhiber ? Pour plaire aux traditionalistes et pour maintenir une hégémonie financière royale. Dans l'ordre ou le désordre, c'est pareil.

Moi le citoyen, je suis un sujet de cette royauté. C'est ainsi. Pour bien me fidéliser à cette royauté, j'utilise la monnaie à son effigie. C'est ainsi. Si je me rends n'importe où en sol canayen, je peux me retrouver en terre de la couronne, même symbolique. C'est ainsi.

De plus, les seuls écartés comme sujets monarchiques, les premières nations et les métis, par traité passé. C'est ainsi. C'est l'état dans l'état, et c'est comme ça. J'ai regardé de près la situation Afghane. J'ai déniché certaines similitudes.

Grotesque et démagogique ? Alors regardons y de plus près.

Les chefs de tribus afghans dominent les territoires ancestraux de toutes les façons. Les 34 provinces et leurs districts regroupant une trentaine de millions d'Afghan, appartiennent à des chefs, par la force, la corruption et l'intimidation tout simplement. Karzai en sait quelques choses.

De même, la gouvernance de la monarchie constitutionnelle canadienne se plie au bon désir des chefs de nos réserves. Les milliards accordés aux communautés indiennes passent avant tout par le conseil de bande et leurs distributions ? Selon les voeux du conseil. Parlez-en aux populations de chacune des communautés.

Ajoutez aux revenus de ces communautés, les ententes avec les organismes publics et privés. L'omnipuissance de ces conseils se camoufle bien des organismes officielles. Similitude tribale ? Les provinces en savent quelques choses.

Moi, le sujet, je ne me réjouis pas de la reconnaissance monarchique. Elle tend à des considérations illégitimes. Que ce soit à travers l'attraction d'histoires amoureuses ou autrement, je ne la célèbrerai pas.

Allez, bon congé !!!