Saguenay, l'une des villes centres de la Belle, a son conseil de ville. L'assemblée actuelle en devient la gestionnaire exclusive en 2009. Croissance de Saguenay depuis des lunes, si ce n'est de la grande industrie, mitigée. Dans la ville moderne, les élus gèrent autres choses que des égoûts. L'analyse complète et juste ne devraient omettre la députation provinciale au nombre de trois.
Serge Simard - Dubuc - Libéral
Stéphane Bédard - Chicoutimi - Parti Québécois
Sylvain Gaudreault - Jonquière - Parti Québécois
Question ; un député de l'opposition en a quoi à cirer des progrès de son comté ? Voici une question qui trouvera réponse dans le compte-rendu de cette députation. Pour faire court, un élu de l'opposition ne s'inspire pas des bons coups du parti au pouvoir pour son comté. S'il veut être conséquent avec son rôle critique, il doit faire ombrage aux apports du parti au pouvoir.
Ce qui nous ramène aux vrais décideurs de la cité, le Conseil Élu. La courte histoire de ce mandat municipal, novembre 2009, ne nous permet pas de conclure et même si, il sera là jusqu'en 2013. Convenons ensemble d'une chose ; le silence apparent des conseillers d'arrondissement ne semble pas nuire à la gestion de la cité.
Le seul vrai mouvement d'opposant ne repose que sur une minorité citoyenne absente de la table décisionnelle. Le Mouvement Chicoutimi en fait parti, et pourrait être un levier politique. Pour le reste, la personnalité du magistrat provoque plus que ses politiques. Les intellectuels auront beau s'insurger et hurler au despotisme, à la démagogie ou pire à une dictature archaïque, ils resteront une minorité.
L'apparence d'une hégémonie néfaste serait reconnu et ébruité, car dans la ville, même en superficie, 3 fois celle de la métropole, tout se sait.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire