État sur-endetté, ce pays du Maghreb a depuis 1981, le même leader. Autrefois plus charismatique, Moubarak viserait pour sa succession, son fils, Gamal. C'est ce qui aurait provoqué la colère égyptienne après que la Tunisie se soit livré à une libération populaire.
Ma perception des choses évolue et évoluera. Pour l'instant, je dois admettre que le monde est impressionné par ces mouvements maghrébiens. La suite en Égypte donnera de bon résultat, j'imagine car l'armée appui ce mouvement de contestation.
Ces pays bien pourvus militairement, devraient réconforter la communauté internationale. J'émettrai une condition ; que les États-Unis secondent. Au départ, le conseil des sages Égyptiens, et Mohamed ElBaradei comme leader des changements, ne semblent pas sur la même longueur d'onde.
ElBaradei, revenu épauler les manifs, montre la sortie au Président élu tandis que BhO, invite Moubarak à se retirer, mais en septembre, à la fin de son mandat. Méchant os...
De toute manière, la transition ne promet pas grand chose. Tant que la population errera dans la pauvreté, la contestation renaîtra tôt ou tard. Bientôt les économistes de ce beau grand pays exigeront des sacrifices ou alors, seront tentés d'utiliser leur situation géographique privilégiée.
Ceux qui se balancent de tout ce débat, sont inconscients.
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