Mardi, la démocratie étasunienne s'étalera de nouveau. Ce jour de mi-mandat augure assez mal pour le sauveur de l'humanité, BhO. Souvenez-vous, au moment de son élection. Chacun scandait des chants de gloire, l'Afrique noire swinguait d'allégresse et l'alléluia des grandes attentes, résonnait.
Partir de Bush et des bushistes devenait plus complexe que de prendre le gouvernail d'un cargo tanguant par une tempête sudiste. Vrai, qu'on ne pouvait, en si peu de temps, à mieux.
Mes attentes à moi comme canayen étaient un trop utopique. Arrêtez les 2 guerres. Cessez d'alimenter les anti-Palestiniens. Disciplinez le monde financier. Dans le fond, agir en bon père de famille de notre humanité. Pour ce faire, accordez à l'ONU une auréole qu'elle n'a plus à cause de lui, l'Oncle Sam.
Tout le monde le sait, son charisme promettait. Une autorité pour remettre son pays sur les rails de la croissance et de la grogne économique. Ensuite, seulement ensuite, donner sa voix puissante à l'ensemble ou bien à ceux qui lorgnent encore du côté onusien.
Qu'on le veuille ou pas, l'OnU me semble l'unique intervenant, même à peine crédible, pour animer une paix viable sur notre planète. Un globe sans décalage horaire bien sûr, rapide et étourdit d'insouciance.
En attendant sa fin de mandat, espérons que les américains faciliteront sa tâche face à une gouvernance en décrépitude.
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