Tout endimanché, j'ai assisté à la célébration eucharistique à Sacré-Coeur. Ce dimanche, la Pentecôte exigeait toute mon attention. Mon attention, parce que j'aime cette fête à la fois candide et mystérieuse.
J'aime croire que Jésus, en mourant, nous laissaient avec une présence, le Paraclet. Oui, je ne le vois pas, du moins pas encore. Mais comme le vent persiste sans apparat, tous bougent par son essor.
J'aime aussi croire, que cette brise est pour tous. Du plus incroyant aux plus fervents, la lumière éblouit comme le soleil luit.
Parenthèse.
Ce matin, je me suis approché d'une nonagénaire. Je lui ai soufflé quelques mots à l'oreille. Je lui demandais si le nom de mon grand-père lui disait quelque chose. À suivre...
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