La paix vu d'ici !

Je comprends que le bruit en société peut-être un inconvénient. Vous savez, on associe même la paix, à l'absence de bruit. Admettons que le vocable "paix" me semble exagérer, considérant les pays en guerres, je le conçois. On y entend là trop de sons impossibles à oublier et qui ne répare rien. Parlons plutôt d'endroit paisible tôt le matin, en savourant un repas dans sa cour arrière en famille, de promenade au crépuscule près d'un cours d'eau ou alors une grâce matinée, relaxe. Il ne me viendrais pas à l'idée de couper un arbre un dimanche matin, de tondre ma pelouse pendant que mes voisins festoient tout près. En y songeant, les convenances en société sautent aux yeux, non ? La bienséance apprise avant la révolution tranquille m'empêche toujours de ne pas faire ce qu'il ne faut pas. Emmerder ses voisins avec des réparations, tard le soir ou tôt, ça ne se fait pas à moins de l'avoir déterminer. Le Maire de Granby en a fait sursauter plus d'un en ravivant une mesure existante mais oublier. Oui, la loi interdit ce genre de pratique, celle qui pousse les gens à se détester malgré le bon vouloir des ententes établis entre nous. Quand bien même il réparerait.