samedi 15 août 2009
Kaboul…
S’il n’y avait que Kaboul, vous vous doutez bien que les forces du mal seraient disparues depuis belle lurette. Le tout aurait été quand même compliqué, car la population Afghane tend vers les forces, dite, du mal. La population est souveraine, même là-bas. Quoi qu’en disent les stratèges des forces du bien. Ils auront beaux vouloir reconstruire, si la population appui le chef de guerre qui est contre, oublions ça et imaginons d’autres voies. Depuis fin 2001, et bien avant les manœuvres de l’OTAN, contre les soviets, les Afghans dominent la scène. Et ce peu importe la force qui s’y oppose. En exemple, Karzai, un sunnite, vient de promulguer une loi soumettant les femmes Afghanes, à toutes les tortures, si. Comment peut-on espérer instaurer une démocratie quand une citoyenne se retrouve devant un tel constat d’échec ? Un écho d’opposition à une telle sottise s’est-elle fait entendre ? Et bien non, pour la simple et unique raison que la population s’en arrange. Réitérer les peurs que la masse subit, n’est pas un motif d’aller sacrifier des soldats pour eux. Cherchons d’autres voies. De plus, chacune des provinces possèdent son chef de guerre, que voulez-vous y faire ? Les descendre ? Gulbuddin Hekmatyar, l’un des pachtounes les plus respectés en Afghanistan et ailleurs dans le monde est aussi un militaire féroce et un terroriste. Comment voulez-vous redresser la politique intérieur en démocratie lorsque vous vous retrouvez avec une trentaine de provinces et ces Seigneur de guerre qui les soumettent ? Imaginons d’autres voies que celle empruntées par les bushistes écervelés. Allez, revenez à la maison...
Massoud un leader Afghan.
Imaginons une voie tout autre car même lui, Massoud erre...
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