Ajoutez à ce saut, la CAQ ! Un parti rejeté depuis son existence par la population du Royaume du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Certains diront alors c'est de l'inconscience ! Lorsqu'on apprend à connaître le chef ne serait que par son livre, ses ambitions, sa résilience, on apprécie son combat socio-économique. Madame Girard vient de dire oui à l'aventure CAQuiste, ce combat socio-économique.
Ce combat, je le mène à ma façon. Lorsque j'ai entendu mon chef Legault lundi matin à 7 heure et demi, j'ai renversé mon café. Son adhésion à Promotion Saguenay avec 26 millions, puis 100 millions, comment ne pas scraper son clavier détrempé de café.
Je me suis mis à essuyer le dégât et pris un pas de recul. Voici, Promotion Saguenay bénéficie d'une réputation exemplaire ailleurs. Ici, il porte tant de discrédits, qu'on le croirait cancérigène. On ne peut ignorer la couleur des personnages qui y siègent, ça c'est certain. Écoutez, dans un coin peint fleur-de-lysée comment ignorer le choc inévitable entre Promotion Saguenay et les médias bleuis de jalousie.
La politique sale prend ici tout son sens avec Promotion Saguenay. Passons ce passage accidentel mais pas trop vite car Elaine Girard devra saisir la balle au bond. Question complexe qui se résume à faire en sorte que les régions doivent se doter d'outils d'investissements ; un centre de décisions accaparé par des élus locaux selon leurs priorités et redevables.
Pour ce faire, les Elaine Girard deviennent incontournables. Madame Russel-Aurore Bouchard avait l'occasion et peut revenir sur son désistement. Le temps joue pour elle. Son texte entourant sa dernière décision n'arrange rien pour l'heure sauf de porter du discrédit à l'égard de nos politiciens. Oui, ça prend du courage et elle en a.
Bonne chance à Madame Elaine Girard, notre combat.
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