Le peuple syrien enrichit le globe de plus de 23 millions d'habitants (2012). Nous conviendrons qu'avec les confrontations internes et l'exil des migrants, nous n'en sommes plus là. Cette migration remonte à 48 mois.
La complexité géopolitique de toute cette région en implosion, oblige la communauté internationale à intervenir massivement. On se souviendra que les intérêts étrangers sont multiples et les états divergents laissent pourrir courrir.
L'actualité nous rattrape, c'est le cas de le dire. En campagne, tout le monde politique Canayen chambarde l'itinéraire déjà fixée. Tous, pas juste ici, presque partout sur la planète, c'est l'indignation.
La mer Méditerranée n'aura jamais été aussi meurtrière. Ses plages, insoutenable. L'innommable d'hier a un nom que je tairai, car tous ceux qui le précèdent, des dizaines de milliers dit-on, se sont éteints dans un silence morbide.
L'EI, l'acteur servile sera tôt ou tard éliminé même bien nourrit. Le plus tôt sera le mieux. Cette présence armée ajoute aux craintes des peuples en fuites.
L'EI, l'acteur servile sera tôt ou tard éliminé même bien nourrit. Le plus tôt sera le mieux. Cette présence armée ajoute aux craintes des peuples en fuites.
en gris : l'EI en août 2015.
L'Europe, accaparé depuis des lunes par la migration musulmane, s'attendrit par la douce allemande, en mode solution.
Le mot d'ordre n'est plus Schengen, mais bien, AGISSONS vite !
Cependant, on ne peut pas refaire l'Islam. L'intégration de cette multitudehermétique impose de la rectitude, bien qu'à cet égard mon scepticisme soit entier. Pour finir, une solution militaire doit être tout autant valorisée envers l'EI et contraindre Bachar el-Assad, d'instaurer une démocratie Syrienne.
Le mot d'ordre n'est plus Schengen, mais bien, AGISSONS vite !
Cependant, on ne peut pas refaire l'Islam. L'intégration de cette multitude
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