La délation par audio-visuelle, en provenance de Toronto, égratigne le portrait du monde politique de nos démocraties. Avec le nombre d'appareils vendues, attention et gare à vous !
Écoutez, on a là un Maire piégé, presque sans mots. Dernières déclarations publiques : «Je ne consomme pas de crack, et je ne suis pas un accro au crack». Cette phrase laisse sous-entendre un tas de prémices. Mais bon, patientons de voir les preuves, en autant qu'elles existent bien entendues.
On croyait quasiment que seul la Belle baignait dans le mensonge et autres entourloupes organisées. En admettant que ce soit le seul évènement, on oublie aisément ce qui se passe dans notre sénat archaïque. Encore là, détendons-nous, je me répète, patientons de voir les preuves.
Ceci dit, les groupes organisés ne s'étonnent plus de regarder, l'histoire le confirme, toujours un, deux ou plusieurs délateurs baiser l'omerta. Les agents bavasseurs possèdent toujours de bonnes raisons pour bavasser. Dans le cas torontois, on délate à moitié pour du poignon. La gang derrière cette machination joue ses cartes et Ford cra
Admettons que Ford dit, ¨ oui j'ai cramé un soir tout un fumigène. Citoyen, pour un toxico, c'est un gag passager. Aujourd'hui, je suis un maire sérieux. J'ai fui les produits dopants, les pièges de l'illégalité, sauf l'expresso du mat. J'ai donné l'adresse et les noms de ces renégats à notre police. Pour terminer, voici ma démission¨.
La province retourne en élection pour la ville reine, Rob se représente ou basta, on s'en fout, les concitoyens de torontois décideront.
Comme ici, c'est qui le dindon de la farce !
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