L'Irak, une arnaque ?

Depuis une ou deux semaines, certains médias, à travers leurs journalistes, tirent de grandes conclusions. Prenez l'article de la Presse ici, des documents vidéos à la tonne et audios de notre radio, LA radio de Radio-Canada.

Moi, simple citoyen, avait déjà perçu la fraude du Général Powell lorsque les inspecteurs divulguaient leurs différents rapports suite aux mandats de l'ONU. Sans résolution, Bush aura commis ce que les médias occidentaux d'ici dévoilent. On est en 2013 bordel.

En février 2003, la France s'appliquait avec rigueur face à l'état gouverné par Saddam Hussein. Désarmer l'Irak si....



L'Irak, ce n'est pas rien ; entité souveraine, population, 30 millions et surtout, riche en pétrole.

Mais l'arnaque n'est pas qu'en Irak. Auparavant, ¨des lunes¨, Bush et son gouvernement déclaraient la guerre et envahissaient l'Afghanistan ; état souverain, avec une population de plus 30 millions, voisin de l'Iran, diriger par les Talibans, héritaient de la colère suite au 11 septembre 2001. Pourquoi ce bled ? Pourquoi pas le siège des Talibans, le Pakistan ? Non, cela devenait impératif, l'Afghanistan !

L'envahisseur disait tout savoir de cette région qui cohabitaient avec des terroristes et bien entendu, l'ennemi suprême. Je me demandais à l'époque ; ¨que pouvait gagner ce pays d'Asie centrale à foutre le bordel chez l'Oncle Sam ?¨


Les vrais raisons de la guerre contre l... par rikiai

Les médias sont obéissants n'est ce pas ? L'opinion publique acquiesçait tout autant comme à son habitude, ¨ah pi, les maudits arabes.¨ Sans autorisation de l'ONU, allez-y ! Rien, pas un mot sur les suites de cette guerre puisque les arabes l'avaient bien chercher.

Ces deux états souverains peinent de leurs malheurs passés, présents et futurs. Vous saurez que ces populations peuvent agir seules bien que les occidentaux s'en sont mêlés trop souvent et en ont remis. Tous, chacun leurs tours ont bien essayé de mettre la main sur l'or noir et le pavot. Les guignols mis en place, accaparés par des politiques de reconstructions, de stabilisations, en état de siège, doivent tout reprendre. Avec eux, les chefs de guerre de chacun des clans, islamistes ou autres, les occidentaux s'en balancent.

Tout le tour du globe, les grands états ont des intérêts, peu d'amis...