lundi 7 janvier 2013

Les amateurs de sports.

Enfin, diront certains, c'est réglé !

D'autres avoueront les enjeux financiers trop importants, pour un sport d'hommes riches et d'athlètes gâtés.

Ici, on parle d'activité sportive démesurée. Pourtant, le monde du spectacle comporte tout autant de démesures. Franchement, l'intérêt du hockey, ce côté-ci du moins, est à peine remis en question. Les transactions aux guichets tendront vers la croissance, je dirais.

Tout ça, c'est une loi écrite dans toutes les langues ; la concentration du marché ou le jeu de l'offre et de la demande.

Les situations du marché dans le monde des spectacles en général varient selon les stars. Dans le sport, à Montréal surtout, la victoire avant les prouesses. L'attrait lui, est culturel et un stimulus quasi subliminal.

En Europe, le simple observateur constatera le salaire mirobolant versé à un seul joueur de football. C'est énorme parce que ces personnes exercent un attrait en or, l'or ballon.


Donc, s'il fallait chercher la démesure, c'est bien chez les gens ordinaires, le travailleur et la travailleuse ordinaires. Ce sont eux vraiment, par leurs comportements devant des stars du stade, plus ou moins instantanées, ou bien, la victoire du club, qui animent la démesure. Sans eux, pas de surenchères, que dal.

En tant que fan de hockey junior, j'avoue que moi aussi j'exerce un influence sur le marché des activités de ma région. L'influence doit être bénigne certes mais mesurable.

De même, lorsque je syntonise une chaine télé et que j'écoute ce qu'elle m'offre, j'influence les marchés. Ensuite, on établira que ma préférence, juxtaposer à tous ceux qui font comme moi, intéresse un fournisseur de service.

Je m'éloigne-là ?

Possible.

Un banquier a déjà révélé, suite à une question comme quoi son salaire était inconvenant et que personne ne mérite un tel traitement. Le président interrogé rétorquât tout de go que ce qu'il recevait comme revenu avait été négocié et que ça n'avait rien à voir avec le mérite mais relative à une échelle d'évaluation des marchés.

Pour finir, je vais suivre la saison de hockey. Mon zèle dépendra du spectacle offert. Cependant, je ne me paierai pas de billets au centre Bell. À l'amphithéâtre de mon club junior régional, si. En un mot, mon importance tant qu'au salaire versé à un des athlètes ou aux revenus engrangés par l'un des proprios de mon sport national de la LNH, même minime, ma contribution est bien réel.

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