samedi 11 février 2012

Garderies pompeuses...


Deux milliards plus tard, les mamans ne pourraient en faire autant, les papas ?

Ah, scusez-le, nous avons affaire ici à des professionnelles de l'éducation. Un instant ; je ne remets pas en doute leurs compétences ni leurs revendications. Ce pourquoi je plaide, c'est simplement pour le libre choix, mais un véritable choix. Celui qui permettrais aux familles québécoises, en déclin démographique, faut-il savoir, de pourvoir véritablement aux conséquences de la raison familiale.

Apprenez que la business familiale, c'est aussi ça, faire des enfants. J'espère que vous n'êtes pas étonné. Bon je blaguais. Les parents n'ont pas que des failles. Non, ils possèdent de nombreux atouts dont celui d'être des parents, accaparés de toute part financièrement, c'est vrai, mais aussi détournés d'une véritable finalité, l'éducation familiale.

Oui, plus souvent, les mères délaissent une carrière professionnelle. Ceci dit, la première année d'un bébé nécessite la présence de la mère et du père, en appui. Après cette échéance, en mesure d'évaluer les pour et contre en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, il serait logique de faire un choix. Les parents peuvent tout autant décider d'aller à contre sens et d'exercer ce qui leurs semblent pertinent pour leurs enfants et de repousser la carrière professionnelle.

Ceci dit, permettons-nous ainsi d'appuyer la famille de toutes les manières. Le coût d'une place dans les centres s'élève à plus de 12000$ en 2010. Remettons ce montant aux mamans qui souhaitent conserver leurs rôles d'éducateur. Voilà un véritable choix.

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