dimanche 26 février 2012

varia d'un ti-peu encore...


un ti-peu de PM

que diriez-vs de ses initiales aux provinciales ? j'en suis déculotté.

un ti-peu de PM

le PM du kébek se réjouit à l'idée d'affronter Pauline comme meneuse aux sondages.

sondages

allez, je vais m'y faire aux nombres que les médias nous afficheront de tous les angles. même les plus sombres.

contestation ?

je crois, à moins que ma mémoire défaille, ne pas avoir vu autant de contestations, lock-outs et autres arrêts prolétariens qu'en 2011. la classe moyenne aura beau gagner plus de $$$$, elle n'est guère plus riche.

grèvettes

les étudiants s'objectent à toutes hausses. regroupés en syndicat, même si ça me semble un terme exagéré, les jeunes d'ici ont voté contre l'arrêt des cours et pour la hausse des frais scolaires. dans la manif estudiantine, c'est pas très imposant mais bon, c'est démocratique...

bénévolat

j'ai cru que les jeunes leaders étudiants agissaient sans recevoir de salaire. en interview, gabriel nadeau-dubois avoue, difficilement toutefois, gagner 18000$ par année scolaire (9 mois). les leaders étudiants, forts d'une insouciante adolescente, conseillent comme il se doit, le groupe d'enragés.

un ti-peu de gauche/droite...

la CAQ se prononce pour les hausses et de suite est disqualifiée. plusieurs diront qu'ils sont de droites. moi, j'écris qu'ils sont sensés et je ne suis pas de droite. Pour le groupe legault, le système ne peut pas rejeter un étudiant pour l'argent. tout est dans la manière de rembourser la dette globale.


un ti-peu de droite/droite...

le remboursement des voitures qu'héritent les étudiants, la balance de leurs cartes de crédit itou, sont dictés selon le marché du crédit actuel. ça, c'est un remboursement de droite ou de gauche ?

débat d'idées



écoutez et concluez ce court clip. j'avoue que le jeune duhaime souhaite un débat d'idées et lisée, l'emporter.







mardi 21 février 2012

Commission Charbonneau.

L'heure est à la délation, non aux potinages de bas étage. On le voit bien avec le sérieux de la juge sur le clip apparu aujourd'hui.

J'ai entendu aussi, ici et là, des observateurs impatients, par trop de lenteur de la part de la commission.

Pour un, Guy Chevrette a plaidé plutôt pour de la prudence. Le mandat très large de la Commission Charbonneau impose aux acteurs principaux, d'accumuler de la preuve béton.

Moi, si on prend l'affaire Tomassi, je la prends pour initier le banquet. Mais je ne suis pas l'honorable France. N'empêche c'est du solide me semble.

Un autre exemple ; le PM Charest qui dit dans un meeting à ses ministres : " un ministre c'est un million de dollars pour le parti. N'a qu'à ramasser le blé !" J'exagère à peine.

Dans la construction aussi. Il ne faut pas être charpentier, grutier ou bitumeux ni même ingénieur pour se rendre compte des douteuses entourloupes qui s'écrivent dans les médias ou qui résonnent en boucle, une vraie saga.

Aujourd'hui, un intervenant contestait la sécurité du site. Vers 17:30, on corrigeait en invitant les gens à ne pas écrire sur le site même.



samedi 18 février 2012

Dieu ?



Moi, pour un, qui en suis conscient chaque jour, par tout ce que je voie, de son omniprésence. Qu'une dame le chante avec tout l'amour qu'elle éprouve pour son mec, dit plein de trémolo, que Dieu réunit ceux qui s'aiment et bien, que voulez-vous de plus ?

Je ne connais pas le prof, ni toutes les circonstances des faits aussi bénins qu'un lever de soleil ou d'un coucher. Ce que je peux dire cependant, c'est que tôt ou tard, avec eux, ces étudiants, j'aurais abordé la question de Dieu.

Comment ? En disant, que Dieu réunit ceux qui s'aiment...



Voix ...

Partez avec moi, de ce clip à voix et d'instruments à vent ;



HORS CONTEXTE (Pour la voix, Phoebe Hall se signale et me fait penser à Beth Gibbons;)






Glory Box (La Boite A Gloire)

Je suis tellement fatiguée de jouer

Jouer avec cet arc et cette flèche

Je vais me débarrasser de mon cœur

Laisser les autres filles jouer avec,

J'ai été trop longtemps une tentatrice


Juste...


Donne moi une raison de t'aimer

Donne moi une raison d'être, une femme

Je veux juste être une femme.


Depuis ce moment, où j'ai brisé mes chaînes

Nous regardons tous une image différente,

A travers cette nouvelle manière de penser

Des milliers de fleurs pourraient s'épanouir

Change et donne nous de l'espace.


Donne moi juste une raison de t'aimer

Donne moi une raison d'être, une femme

Je veux juste être une femme.


Alors ne t'arrêtes pas d'être un homme

Essaye juste de regarder un peu de notre coté quand tu le peux,
Distribue un peu de tendresse

Aucune importance si tu pleures.


Donne moi juste une raison de t'aimer

Donne moi une raison d'être, une femme

Je veux juste être une femme.


Pour cela, c'est le début pour toujours et à jamais

Il est temps de changer maintenant...

Je suis tellement fatiguée de jouer

Jouer avec cet arc et cette flèche

Je vais me débarrasser de mon cœur

Laisser les autres filles jouer avec,

J'ai été trop longtemps une tentatrice

...



Parenthèse ( je saisis de l'anglais la moitié. Lorsque l'on me traduit une chanson, comme juste ici haut, j'en profite. J'avoue que ça me permet de vérifier mon anglais oral, l'écoute du moins. Je n'ai pas perçu le départ de ce morceau "la boîte à gloire".)

Poursuivons ce chemin inachevé, autour des voix langoureuses et de ceux qui l'ajoutent à leurs génies musicales. Voici, le portugais Rodrigo Leao "RL", un inconnu pour moi, une sorte de virtuose je crois. Leao s'est permis d'inviter Gibbons, l'interprète, à chanter ceci ;





Juste comme ça. Ce Rodrigo s'alliait à d'autres musiciens pour former Madredeus et à un autre Sétima Legiao. Puis soliste, l'artiste propulse la culture musicale portugaise. Allez, écoutez ce lien, même si RL n'est plus dedans ; Madradeus.

Lonely Carousel

It’s a look
This game we play
We can’t escape we have to attend
It’s life you see

When I have tried to amuse myself
To celebrate the funfair
The pleasures I seek are far too discreet for me

And all the time the world unwinds
I can’t deny the way I feel
The truth is lost
Beyond this lonely carousel
And all these words, they mean nothing at all
Just a cruel remedy a strange tragedy
Of what will be

After I try to discover the answers to why
To look for a meaning
Inside of this dreaming I have

And words that I’ve said they spin around
Waltzing alone inside my head
Nothing will change

It’s always the same please make it stop

And all the time, the world unwinds
I can’t deny the way I feel
The truth is lost
Beyond this lonely carousel

And all these words, they mean nothing at all
Just a cruel remedy a strange tragedy
Of what will be

And all the time, the world unwinds
I can’t deny the way I feel
The truth is lost
Beyond this lonely carousel
(Letra: Beth Gibbons)















dimanche 12 février 2012

Moteurs roues "made in China" !


Une filiale d'Hydro et un représentant de la Belle annonceront un pacte Sinocanayen, demain.

En ajout, mettront-ils dans le "deal" la batterie hyper-performante créée ici sur notre territoire ?

Tant qu'à faire un deal, allons-y gaiement...

Rappelez-vs, milieu des années 80, le groupe de l'ingénieur Couture, débouté de sa trouvailles.

C'est ce que nous coûte, diront plusieurs, du bon voisinage...

samedi 11 février 2012

Journalisme et taupe...

La planète journalistique révolutionne à un rythme troublant. J'en ai manqué une ou quoi ?

Ian Davidson aurait volé une liste de collabos. Coincé, Davidson se serait tailladé la gorge, un soir dans un motel...

Bordel de merde, c'est pas commun s'égorger, mais bon, c'est un suicide, croyez-moi, c'est ce qu'on m'a dit.

Partant de là, on déclenche une introspection machiavélique : qui a bien pu livré le renseignement, le secret ?

Mais de quel secret parlez-vs ?

Qui, de la police, donne à un journaliste tel ou telle info déguisé en tuyau explosif ?

Et bien que dal !!!

Initialement, je précisais être pantois face à ce suicide. Dès l'ouverture de rideau, sur le champ télévisuel on clamait au suicide. OK ! J'la ferme...









Garderies pompeuses...


Deux milliards plus tard, les mamans ne pourraient en faire autant, les papas ?

Ah, scusez-le, nous avons affaire ici à des professionnelles de l'éducation. Un instant ; je ne remets pas en doute leurs compétences ni leurs revendications. Ce pourquoi je plaide, c'est simplement pour le libre choix, mais un véritable choix. Celui qui permettrais aux familles québécoises, en déclin démographique, faut-il savoir, de pourvoir véritablement aux conséquences de la raison familiale.

Apprenez que la business familiale, c'est aussi ça, faire des enfants. J'espère que vous n'êtes pas étonné. Bon je blaguais. Les parents n'ont pas que des failles. Non, ils possèdent de nombreux atouts dont celui d'être des parents, accaparés de toute part financièrement, c'est vrai, mais aussi détournés d'une véritable finalité, l'éducation familiale.

Oui, plus souvent, les mères délaissent une carrière professionnelle. Ceci dit, la première année d'un bébé nécessite la présence de la mère et du père, en appui. Après cette échéance, en mesure d'évaluer les pour et contre en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, il serait logique de faire un choix. Les parents peuvent tout autant décider d'aller à contre sens et d'exercer ce qui leurs semblent pertinent pour leurs enfants et de repousser la carrière professionnelle.

Ceci dit, permettons-nous ainsi d'appuyer la famille de toutes les manières. Le coût d'une place dans les centres s'élève à plus de 12000$ en 2010. Remettons ce montant aux mamans qui souhaitent conserver leurs rôles d'éducateur. Voilà un véritable choix.

Château de Sagard

Écoutez, ce domaine est splendide. Les terrains auront coûté un dollar aux Desmarais. Par la suite, la famille réalisera un site merveilleux avec les compétences des gens de la région. Si on y regarde de plus près. Disons que c'est dans le milieu de nul part en bordure de la route 170.


Petite description ; le long de la 170, remarquez le golf de 18 trous. Puis, le chemin, entrecoupé d'une rivière en cascade de deux mètres de large. Tout ça, pour nous conduire aux différents bâtiments sur la montagne ; l'accueil, les garages pour autos et véhicules d'utilités, les ateliers mécaniques, horticoles, développement faunique et pour finir, le Château digne des vieux pays.

En scrutant de plus près, sans être de mauvaise foi, j'affirme que d'un lieu sauvage, un chef d'oeuvre apparaît. Oui, nous pourrions parler d'opulence, et après. Les Desmarais ont le fric, la main-d'oeuvre et l'influence. Ce n'est pas pour rien que président actuel ou ex-président du monde y font leur jogging matinal. Que des personnages imposants de toutes les sphères de notre planète s'y pavanent, jouent et échangent.

Dans le fond, un lieu où tout le monde aimerait être invité. Mais n'entre pas qui veux, ce n'est pas une bergerie.

Voici l'entrée automatisée :


Tout ceci pour approfondir les stratégies politiques. Jean Charest, PM de la Belle, le président de la caisse Sabia, les proprios du club les Remparts de Québec, Monsieur Bettman, de la grande ligue, ont accepté l'invitation et après ? Un, que Jean Charest nie au départ et qu'ensuite évoque avoir accepté l'invitation, c'est maladroit, pour le moins. Le fait d'évitement est compromettant non ? Deux, s'ils sont allés dans ce bled presque perdu, pour y prospérer, peut-on douter de leurs intentions ?

Je me répète peut-être, mais qui de nous n'aimeraient pas y être conviés ? Si je ne l'ai jamais été, sauf une fois par affaire, et vous non plus, je présume, c'est que je et nous sommes d'illustres inconnus pour eux.

mardi 7 février 2012

Appel d'offre ?


Les Bleus, les miens et ceux de mes concitoyens…

Depuis que les autorités de la ville ont acquis le club local les Saguenéens de Chicoutimi (199?), mon intérêt envers cette équipe a augmenté. Notre équipe porte bien ses couleurs. De plus, on dira, comme un credo, que c’est l’équipe de toute une région. Tant mieux si la renommée du club apporte à toute la région une plus grande visibilité. Au surplus, cette équipe donne aux citoyens de Saguenay l’opportunité d’être administrateurs, instructeurs et formateurs d’une équipe d’élites de notre sport national.

Ceci dit, ce billet est soumis relativement à l’appel d’offre lancé par ville de Saguenay, pour la gestion du club les Saguenéens de Chicoutimi. Je suis persuadé que la façon de faire des élus politiques est pertinente et transparente. De plus, elle accordera aux acquéreurs une légitimité plus grande. Plus loin, je reviendrai sur le moment de cette annonce d’appel d’offre.

Il serait bien de préciser qu’initialement le maire de Saguenay avait conclue avec les gestionnaires actuels une entente favorable, afin de faciliter la prise en main des affaires de l’équipe. Le groupe actuel, seul intéressé à l’époque, héritait donc des affaires globales de l’équipe, d’un déficit accumulé et d’une perte de popularité menaçante. Je me souviens encore que le maire de la ville avait conclue une entente pour que les gestionnaires fassent de l'argent. D’ailleurs, le conseil de ville Saguenay aura par la suite fixé une entente similaire avec l’équipe de l’arrondissement Jonquière.

Entrons maintenant dans le vif du sujet sans toutefois connaître le cahier de charge en profondeur. Convenez que des garanties financières seront exigées. Aussi, je connais quelques unes des obligations liant les présents gestionnaires à la ville ;

- Je sais que les gestionnaires actuels sont responsables des pertes et des profits.
- Je sais aussi qu’ils remettent à la ville de Saguenay pour l’utilisation des infrastructures de la ville, 30% des billets vendus aux 70001ème spectateurs et au total, jusqu’au terme des activités du club.
- Je sais aussi que la majorité des revenus des concessions reviennent aux gestionnaires.

Bien plus. Dans le cas où la ligue acquiert le prix d’une franchise, elle répartit le montant selon l’entente des proprios de la ligue. En 2005, deux équipes achetaient une concession de trois millions de dollars chacune. Un partage était alors transmis entre les 16 équipes du circuit.

Cette transaction aura modifié quelque peu la réalité de la ligue. Ce prix de vente actualisait la valeur marchande d’une équipe de la ligue et du même coup, une plus-value. La plus-value de l’équipe est propriété de la ville. Cependant laissons cette partie comptable au contrat de gestion.

Maintenant et selon les rumeurs, trois groupes seraient déjà intéressés à soumettre leur candidature ; le groupe actuel, baptisé le groupe Carbo, le clan Marc Denis et le clan Richard Martel. D’autres groupes seront de la partie. Un changement de gestionnaires me semble audacieux et téméraire pour l'instant.

Rappelons seulement que depuis 1973, une trentaine de villes ont eu droit à une franchise dans la Q (LHJMQ). Chicoutimi est l’une des doyennes avec Gatineau, sa jumelle et la plus âgée, Shawinigan. Chacune d’elle aura subit des hauts et des bas. Ce, tant au niveau du rendement sur glace que dans les livres comptables.

Pour ville de Saguenay, ce sera dans l’intérêt des citoyens et des élus de recevoir plus pour l’utilisation de l’aréna. Pour ce faire, le groupe de gestionnaire devra stabiliser les entrées, ce à toutes les années. Les administrateurs ou l’administrateur devront donc mettre sur pied une structure favorable, aux yeux de la ligue et des élus de Saguenay.

Le Groupe Carbo aura sans contredit atteint un niveau de fréquentation jamais vu ; 7 saisons régulières de plus de 100000 milles spectateurs avec un plafond jamais atteint en 2005-2006, 144621 entrées aux guichets. En 2005, la franchise était titrée « la meilleure des 60 équipes de la ligue Canadienne de Hockey Junior Majeur ».


La comparer à sa jumelle Hull-Gatineau HG et la doyenne Shawinigan SW me semble pertinente en ne perdant pas de vue cependant certains éléments. Prenez les années 2001 à 2011, en saison régulière, le Groupe Carbo a aussi là su se démarquer de ses pairs. HG se détachera quelque peu lors des séries mais pas SW. N’oublions pas que HG bénéficie d’une géographie plus que favorable pour l’acquisition de joueurs.

Hors glace, nous conviendrons que l’Organisation Carbo affiche un certain leadership. Malgré la perte d’un des leurs, Monsieur Gervais Munger, ce groupe aura pris sa place à travers toute la ligue et même au-delà. Que ce soit à l’égard des débats bien actuels et des différents hors et parfois sur glace, ils s’en sont tirés avec mention honorable. Oui, ils ne sont pas parfaits même si une courbe descendante est bien réelle. L’engagement d’un nouveau personnel semble renverser la tendance. Mais convenons tous que le club aura atteint, avec leur gestion, un niveau d’excellence ou du moins une stabilité enviable.

Les critiques politiques, tant qu’à l’annonce d’aller en appel d’offre, que l’on dit inopportune. Bien, c’est possible que ce le soit. Plusieurs observateurs croient que le Conseil de Ville souhaite recevoir plus et qu’en agissant ainsi, ils ont heurté le Groupe Carbo. Provoqué, le clan Carbo aura réagi en hypothéquant l’avenir du club. Le futur de l’équipe viendra confirmer ou infirmer si c’est le cas. Je ne crois pas que des proprios d’entreprises de notre région, sacrifieraient une notoriété, même fragmentaire.

Cependant, la prérogative des élus de la ville, d’aller en appel d’offre, se justifie dans le but de créer un engouement. Tout ce je souhaite, c’est que les décideurs n’aliènent pas les destinées du club actuel pour des motifs liés à des circonstances bien négligeables en regard de l’oeuvre.


lundi 6 février 2012

Barbarie ?



Ce qu'inflige les décideurs étasuniens au monde, c'est ni plus ni moins que l'absence de civisme le plus primaire. Pourtant, il aura, le président des États-Unis d'Amérique, dans un passé électoral récent, rejeté les intrusions de l'administration Bush de par le "Patriot Act" (2001).

Avec l'échéance du Patriot Act (2011), Obama vient d'en accroître le pouvoir, sur le fond et sa longévité. Lisez donc l'analyse ici du Patriot Act.

Sa promulgation n'aura suscité que peu de débats, je dirais même plus, une sorte de cover-up d'autocensure médiatique.

Les attentes des intellectuels à l'égard du mandat messianique de Barrack Hussein Obama sont bien loin de se concrétiser.

Allez voter !

samedi 4 février 2012

La science ...


11/9: Lynn Margulis, scientifique de renom... par ReOpen911

Ceux qui préfèrent les infos basés sur les sciences et leurs évidences pourront, si ce n'est déjà fait, regarder et surtout écouter ce vidéo d'une durée, avec preuve à l'appui, de 5 minutes 11...

Sénateur Boisvenu !



Le sénateur conservateur Pierre-Hugues Boisvenu a affiché ce premier jour de février, une corde. Une corde à noeud coulant que personne ne souhaite revoir. En rayant ce dernier bout de phrase, vous avez constaté comme moi, qu'une part importante de la population souhaiterait en finir avec certains assassins.

Revenons au Sénateur. Monsieur Boisvenu, à mon humble avis, bénéficie d'une certaine immunité. N'oublions pas que le type a traversé l'étape de la victime, meurtri à jamais par la perte de ses deux filles. (L'une d'elles violés et assassinés). Puis, de défenseur des victimes en fondant, avec d'autres parfois, des associations venant en aide aux victimes d'actes odieux.

Il devenait tout naturel que ce type devienne un réformateur. J'admets avec lui que ses propos ont dépassé sa pensée. Je crois aussi qu'il est contre la peine de mort puisqu'il n'a rien d'un barbare. Néanmoins, les peines canadiennes promulguées à l'endroit des tueurs en série et de meurtres sordides devraient être revisées. S'ils sont reconnus comme des individus intraitables, ni réhabilitables pourquoi alors leur adressé des droits universels liés aux êtres "normaux".

Les décideurs de la planète ont permis, incluant le Canada, qu'en temps de guerre il est permis de donner la mort. Ce traité onuséen convient qu'il est difficile d'en interdire l'application. D'autres traités, sans interdire la peine capitale, ils le restreignent en quatre points :

-ne pas être imposée contre les moins de 18 ans (au moment du crime) ;
-ne pas être exécutée contre une femme enceinte ;
-n'être prononcée que pour « les crimes les plus graves » ;
-qu'il y ait toujours une possibilité de commutation de peine.

Il m'est donc permis d'accorder un traitement d'exception à des êtres d'exception, tout en respectant le droit.





Carl Monette et une radio...




L'hurluberlu sur son steak se tape bien du monde afin de démontrer ses inepties visuels. Dans ce clip, le cracheur, presque inaudible, entraine une tranche large de la société sur un boulevard à 4 voies. Un boulevard montrant une majorité d'assistés sociaux apte au travail se la couler douce et s'enrichir sur le dos des travailleurs ordinaires et honnêtes.

Ces travailleurs, en l'écoutant déblatérer, devraient se mettre en colère. Du moins c'est ce que j'en crois en écoutant les Monette d'une radio niaise, redondante et d'amalgame facile. À en croire Carl Monette, et toute son armada loyale et soumise, "on devrait leur couper le BS à ceux qui sont aptes au travail après cinq ans, non, deux ans".

Sans revenu, ces gens finiraient dans l'errance. Ensuite,"ces itinérants aptes au travail", on les transportent gratos à proximité du Plan Nord en dressant ensuite un mur. Pour sceller les ébats car ces petites bêtes-là vont se reproduire, solution finale, la castration.

Perso, je n'envierai pas les profiteurs du système. Vous apprendrez que généralement, les "BS" citoyens qui reçoivent un chèque mensuel y ont droit. Vous saurez par la même occasion que j'aime le travail que je fais. Et, au final, que j'en reçois un dû et une reconnaissance.

Monsieur Monette et tous ceux qui avalisent cette approche méprisante, le rejet final, dites-vous que l'errance crasse et la stabilité sociale dépendent de peu de choses. Heureusement que la majorité n'en soient pas.