Je me joins à tous les humains qui regrettent la mort d'innocentes personnes. À New-York, ce jour-là, plus de trois milles décès.
En même temps, je ne saisis pas que l'on soit muet pour le carnage en terre étrangère dû à ce triste jour. Saviez-vous que plus de trois cent milles civils sont décédés en Afghanistan et en Irak ?
Encore aujourd'hui, malgré toute la douleur, l'establishment d'un empire en déclin refuse toute logique. L'État, avec Obama en tête, accorde du crédit à l'exceptionnalisme des États-Unis d'Amérique. On réfute la vulnérabilité vouée à l'espèce humaine, organisé ou non.
Un grande proportion d'Américains reprochent à leurs leaders de vouloir soumettre le monde à une volonté, l'étasunienne. Ce complexe de supériorité n'entraine que la haine des peuples à leur égard. En de telles circonstances, comme celle du 11 septembre, une conséquence ? Certes un héritage de la gouverne Bush...
Bien que l'interprétation de ces évènements se formalise aux rapports officiels, j'en appel au bon sens des décideurs afin de tout revoir, du 11 septembre 2001.
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