Négligence au 6650 Couture... "clic"

Mise au point.

Après avoir écouté l'émission Enquête, je dois conclure que les unions syndicales sont propices à toutes les gaffes mafieuses. La participation de plusieurs individus, dont la mienne et celle de mes camarades syndiqués, est essentielle.

Lorsque, à de multiples demandes, mes dirigeants syndicaux Yves Bourassa et Eddy Brandon, (STUIQ), ne répondent pas à mes questions. Que j'insiste réunion après réunion, un peu comme le ptit tannant en classe auprès de son titulaire. Qu'ils oublient de me procurer les états financiers, vous vous inquiétez n'est-ce pas ?

Ensuite que j'adresse mes interrogations auprès d'organismes gouvernementaux, que j'en parle à l'attaché de mon député PQuiste et à la centrale FTQ Saguenay, via Roger Crevier et au directeur du recrutement de cette centrale, Monsieur Émond.

Par la suite, que je m'adresses à Alain Gravel de Radio-Canada et qu'encore là, aucun message ne me parvient. Soit ma cause est illégitime ou alors, qu'elle s'égare dans l'univers du Web.

Heureusement, on s'approche suite à cette émission, des conséquences lucratives et douteuses de mes anciens représentants d'union, conjuguées à ma négligence de régionaux ordinaires. Je ne suis pas le seul responsable mais j'en suis.

Une question me trotte dans la tête ; comment se fait-il que des entreprises peuvent naître et ainsi profiter des fruits de nos cotisations ? La FIPO permettait tout un financement à des condos et la FITI (une alliance du STUIQ), puissent-elles en faire autant.

Je suis un, content de la tournure des enquêtes médiatiques et deux, abasourdis par la complicité de tous les intervenants, même bénéficiaires. La complicité de la classe politique est incontournable sinon à eux d'en faire la preuve.