Oui, que Pauline est passée un test de quitte ou double avec 58% de participation.
Sortir gagnant de Kamouraska-Témiscouata dans une partielle, c'est un test du niveau d'écoeurement aigu pour les citoyens. Pour le PQ, c'était je passe ou je crève. Encore là, je la trouve ordinaire d'avoir mis sur scène son test à elle. Elle aurait dû remettre la victoire à André Simard, son représentant, dans ce comté rouge depuis longtemps (+ de 20 ans).
La pétition sur le site de l'Assemblée Nationale prônant la démission du PM, du POPULISME ?
Le niveau de l'écoeurement peut-il se livrer à ce genre de MANIF ?
En admettant que la pétition soit tout sauf pertinente, le nombre d'inscrits n'autorise personne à la qualifier de tous les sophismes insipides pour grands personnages. En constatant l'implication citoyenne dans notre démocratie chérie, oui, ce geste, assez facile je l'admets, adresse à la personne du PM sa colère. Elle serait passagère qu'elle n'aurait pas atteint cette frontière du dégoût.
Qui aurait dit qu'une telle consultation atteindrait 240000 citoyens ?
Rendez-vous sur le site des pétitions et dénichez en une qui atteint ce chiffre démontrant tant d'éloquence ?
Pour finir, que restent-ils aux citoyens mis à part les grands journalistes pour manifester un désaccord ?
Les gouvernements crient à l'imposture à propos des dévoilements de documents. Pour causes, des centaines de milliers de faits apparaissent au grand jour. Généralement secrets, ces renseignements, mis à nu, révèlent des choses troublantes de nos démocraties.
Je me réfère entre autre aux personnes tués depuis 2003 en Irak, cette guerre injustifiable. Total, plus de 109 milles morts jusqu'en 2009. Imaginez, les deux tiers (66000) de ces victimes sont des civils. C'est beaucoup, surtout lorsque le politique impliqué dans ce conflit disait qu'aucun bilan connu des civils tués existait.
Je suis persuadé que les politiciens ne peuvent tout dévoiler. En même temps, peuvent-ils, sans mandat réel d'une guerre à livrer, se comporter comme de vulgaires ignares des lois nous régissant ? Ces attitudes malsaines devraient recevoir une certaine légitimité de la nation.
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Bravo aux Alouettes.
Comme la veille avec le Rouge et Or de l'Université Laval, le football provincial Québécois s'illustre de belle façon. Soyez persuadés que la victoire du Rouge et Or est impressionnantes, bien plus grande que celle des Oiseaux.
Un journaliste faisait remarquer que des 3 ligues juniors canadiennes, la Q comptait moins de buts que les 2 autres. Je trouvais intéressante la donnée. Je me suis donc mis à la tâche afin de conclure et d'amener une réponse concrète avec plus de 35% de matchs joués.
Voici le nombre de buts :
Ontario 1751
West 1924
Québec 1698
En normalisant la donne par le nombre de parties jouées, un rajustement s'effectue ;
Ontario....248 = 7.06
West .......289 = 7.06
Québec....241 = 6.76
J'ai aussi appliqué une donne tout aussi valable. Il se compte par les équipes visiteuses 3 buts par parties et l'équipe qui reçoit en compte 4, sauf dans l'Ouest où l'équipe qui visite en compte 3,2 contre l'équipe hôtesse, 3,5.
Du yiddish ?
Oui. Premier clip ; l'original de la chanson Bei Mir Bist Du Shein, du vieux burlesque. Composé à l'époque par Jacob Jacobs, et la musique, par Sholom Secunda (1894-1974). J'apprécie au premier clip un Klezmer Conservatory Band (Budapest).
Il existe tellement de version anglaise. Là, second clip, j'ai opté pour The Andrew Sisters. Populariser en 1937, sur disque par elles.
Ensuite une version plus jazz avec Janis Siegel .
Et le dernier clip, le modernisé, fait la démonstration qu'un collage imagé peut devenir un bijou sertit d'intelligence créatrice. Waldeck ou Klauss Waldeck, artiste Autrichien, a créé une version techno de ce classique, qui m'était inconnu.
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Le parlement Terre-Neuvien innove avec la démission du PM de cette province, Danny Williams. La démission sera effective le 3 décembre.
L'innovation proprement dite est que les 3 partis officiels possèdent une femme comme chef.
Miss Kathy Dunderdale prendra la relève comme chef du gouvernement ou Première Ministre, jusqu'au congrès Conservateur provincial.
L'opposition de ce parlement regroupe les Libéraux et les Néo-Démocrates. La chef Libérale est Miss Yvonne Jones. Elle agit comme chef de l'Opposition Officielle. Les Néo-Démocrates ont aussi comme chef, un dame, Miss Lorraine Michael.
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Les mauvaises langues, tendance machistes, annoncent qu'un grand ménage s'en vient...
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En permettant aux pétrolières et autres entreprises d'exploration, d'explorer là où bon leurs semblent, nous livrons nous à une forme de passivité onéreuse. Détenu par les marchés en hausse et les impondérables incidents environnementaux, nous restons coi.
Oui, le Golfe du Mexique a fait la démonstration des négligences d'une compagnie. L'exploitant est encore aux prises avec les dégâts provoqués. Les effets collatéraux, personne n'en parle.
On vient de démanteler un puits au large de Terre-Neuve dit la nouvelle. Husky, l'exploitant, a évacué ses ouvriers afin d'éviter pour eux le pire. Le pire étant la présence d'un gaz sulfureux qui s'échappe des réservoirs.
Sur le sol de nos cités et municipalités, les exploitants se pourlèchent de gaz. Si on en détecte, vite une foreuse. Un gars des Cantons de l'est au Québec apprend à accepter l'inacceptable, de son logis. De jour, de nuit, on creuse et on fait exploser les schistes. Comme il le décrit, un coup de canon à chaque fois.
Peut-on, au nom de l'économie des marchés, à tout prix, exploiter ou même explorer ? Moi, je ne crois pas qu'ils faillent même explorer, à moins de me garantir que cela me permettra de vivre mieux. Ailleurs s'il le faut...
Question hasardeuse.
Si je le veux, je fais tout avec. Dégoûté de la vie, de la maladie, du moment présent, qui m'empêche d'en finir ?
La loi ?
Voilà pourquoi je crois à Dieu. C'est pourtant simple. Lui, il ne me veut que du bien.
Du moins, rien que je ne puisses surmonter.
Et que sa volonté soit faite.
Quel Père sensé voudrais du mal à son enfant ?
En reniant ce Père, ou plutôt en le déniant, devant tout ce qui respire, c'est la guigne ?
Laissons place à l'individu, à son égo ?
Et pourquoi non pas à ce qu'il transcende, sa pérennité.
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Au rythme où les états ont répondu lors du séisme de janvier en Aïti, j'étais soulagé un peu. Soulagé de voir ce peuple recevoir un appui sans délai. Puis, les mois passent et on se retrouve avec un état agonisant, sans appui à la mesure des besoins.
Je crains que les décideurs du monde planifie de réduire la vil populace. Même à l'heure d'une campagne électorale bordélique et malvenue, tous nous savons que le peuple Aïtien sera dépossédé de tout ce qu'il a, même du peu.
Juste après Tomas, on pavoisait du niveau sanitaire. Écoutez, le choléra submerge les camps de Port-au-Prince, et de tout ce côté de l'île, comme une marée montante qui n'arrête plus. Les observateurs sur place parlent de 25 milles hospitalisations. Dans quelle hôpital bordel ?
Le décompte actuel fait état de quinze cents morts. Pire, les préposés ne peuvent apporter tous les soins afin d'empêcher de stopper l'épidémie.
J'entendais Préval, dit, "le Monsieur sortant", faire de la prévention populaire. Il invite ces concitoyens à faire preuve de diligence. Merde, avec quoi ?
À ciel ouvert, pour une large part de la population, c'est la guigne.
Je vous présente deux photos prises ici. Réalisez le même cadre photo : celle du haut prise en février et celle dessous, en septembre. À peine 2% des débris ont été enlevé.
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Comment expliquer que ce building ne s'écroule pas comme celle en d'autres lieux ?
En cliquant sur le titre de ce topo, vous verrez toutes celles qui enrichissent la méfiance tant qu'à la version officielle de 11 septembre 2001.
Ce soir en me rendant à la célébration eucharistique, je ne pouvais chasser la nouvelle de mon esprit. Oui, le Pape Benoît XVI, dans sa réflexion qui fait l'objet de tout un livre, invite les individus à utiliser un condom.
Motif global du port du condom ; ne pas infecter son ou sa partenaire.
Tous les intervenants, sans exception, saluent, mieux je pourrais dire applaudissent le changement que vient d'effectuer le Vatican. À mon avis, un virage à 180 degrés.
Cependant nous devons comprendre, moi le premier, que l'Église nous invite, Elle n'impose pas.
Alors, Elle dresse une ligne, à nous de discerner le sens de par les voies de nos cheminements.
Je sais aussi que l'Église n'est pas toujours nette. Que la critique citoyenne s'impose et avec raison, lui fout des baffes. Ce qu'Elle fait n'est pas toujours jojo, alors qu'Elle s'incline et répare.
En même temps, Elle offre tant. Oui, les lieux et tous les évènements de ce lieu, toujours saint. Je précise toujours saint, car Elle célèbre en mémoire de celui qui a tout livré, par amour.
Tardivement, voici la première neige côté patio.
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Le chat de Lyn, Mini-chat, regarde le tout en émettant des roulements roucoulant. On dirait l'un des pigeons du quartier. Au fait, je ne sais d'où provient tout ce lot de pigeons.
Ok, d'un pigeonnier.
Revenons à ce billet.
J'aime l'hiver, le saviez-vous ? Il suffit d'être vêtu de circonstance, vous saurez. Je me refuse de comprendre ceux qui la détestent, surtout la première.
Lorsque j'entends " j'hais l'hiver " à la première, un 20 novembre. J'ai de la peine. Non, pas une peine en larmoiement, non.
" Voilà, mes chers amis, ce qui me met en peine ", Corneille.
C'est que l'hiver de neige n'est que le 21 décembre. Même adoucit, l'hiver enneigé, en ces temps de changement cosmique, s'étend jusqu'au printemps.
Dites-moi que vous le saviez ?
Anyway, garder courage et en attendant, habillez-vous.
Bon hiver !!!
Jeff Beck avec sa guitare donnera un attribut aux ignares comme moi.
En écoutant les chansons sur son plat gastronomique "Emotion Commotion", j'ai entendu des voix.
De multiples...
L'Une d'elles m'est parvenu comme un sort, un sortilège venu d'ailleurs, comme un soleil éclatant ou une pleine lune totale par nuit froide.
Voilà, que je dis un tas de mots, signifiants certes mais incomplets en comparaison de ceci, écoutez, Elegy for Dunkirk ;
_________________________________________________________________-Mes jeudis de Tour de Lac m'amène à passer par des chemins de coutumes. Total, trois cent cinquante Kms de route et de faits divers, inintéressant pour les médias modernes.
Début. Après avoir empli de diésel le mastodonte bleublanc, je fais un arrêt obligé chez Tx. ( Je tais la marque sociale pour l'instant en écrivant Tx ). J'entre dans l'âtre de ce fournisseur depuis une vingtaine d'années. Majoritairement le jeudi. Ça fait + de neuf cent cinquante jeudis.
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Ci-haut, les pas du chef de ce régiment de bloc de verre à tailler de 90 pieds carrés le bloc. Toutes les couleurs y sont ; gris, clairs ou bronzes, elles y sont toutes. De la plus mince à la plus épaisse, même brochée et déco. À lui de les triés.
Juste comme ça ; il m'est arrivé de ressortir de Tx avec ma charge vers les heures du midi. Vous saurez, classer du verre et le promener sur plus de 300 km, c'est pas du niaisage.
J'avoue que l'hiver, on complète le boulot en moins de temps, et plus le calendrier avance, la charge devient plus lourde. Une sorte de la course contre la montre, ou un couché hors de chez-moi.
Revenons à l'essentiel.
Je place ici la photo de deux de mes comparses. À gauche, l'énergie du jeunot, le Kid et à droite, Tinhomme, une sorte de "gentlemen-farmer". À eux deux, les vitres simples, doubles et triples sont cordés et sécurisés pour la route. Aux livreurs de les acheminer au bon endroit.
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Chargement terminé, je sors de l'antre de verres. De suite, une sorte de course s'établit en urgence. Je sais, personne n'est menacé, sauf une coutume, le resto.
J'aime bien chez Marcos à Saint-Fé. On y mange une variété santé à bon prix. À la longue, on porte un attention pointu à cette routine, autant qu'elle soit délicieuse.
Tout le jour, une course aux clients qui attendent "la" marchandise. Je vous présente deux des acteurs de ce périple. À tous les jeudis, ces deux femelles s'approchent de mon aura, lentement, à la longue, insistante. La noire est Maya, âgé de 2 ans et demi. Près d'elle, toujours, Cassiope de huit ans. Une femelle attachante et une timide chevaline.
Voici l'un de ces jeudis...
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Pour un certain Reybaud, le talent permet d'effectuer une volte-face pour que le tout passe élégamment.
Dans le cas de la FTQ, manque de talent flagrant.
Si la garde mafieuse subit une transition, selon certains analystes de la scène judiciaire nord-américaine, on peut affirmer que le milieu syndicale Kébékois en "amanche" toute une...
La démocratie colporte de grandes valeurs, nous le savons tous. Cependant, la canayenne ne prévoit pas beaucoup de solutions à un changement de gouverne provincial. À part, bien sûr, le déclenchement d'une élection.
Nos voisins étasuniens, eux, peuvent mettre fin au règne d'un élu par "l'impeachment stricto sensuen signat" ou une procédure d'inculpation. L'article 1er de la Constitution Fédérale inclus donc un processus démocratique rendant à l'électorat son plein pouvoir.
Écoutez, aux nombres d'allégations depuis que Jean Charest empoigne les deux mains à un volant fou. J'entends les observateurs, nommez-les, ils et elles y sont tous ; "du jamais vu" qu'ils disent. Nommez le secteur d'activités, chacun d'eux est infiltré de la gangrène corrompue, si ça se peut.
L'enquête policière "Marteau" ne suffit pas à la tâche et tous les policiers le confirment. Les maires eux-mêmes plaident pour une enquête publique puisqu'ils gouvernent sous les regards sceptiques de leurs concitoyens.
Voilà pourquoi, je me suis joint à l'exercice plus ou moins valable de la pétition citoyenne écoeurer de tous ce qu'il entend. Oui, la démission de notre Premier Ministre de la Belle Province.
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J'ai placé le lien sur le titre de ce propos. Il est sur le site de notre gouvernement depuis un an. Allez, un effort citoyen.
Petit lundi, grosse semaine ou petite ?
Je dis ptit lundi, car j'ai fini avant 17 heures hier.
Je prends la route dans peu de temps. Vous le savez, les mardis de ma "grosse semaine" (5 en 5), je me tape la 138 jusqu'à BComo. Aller retour.
Dans mes préférences de ce court voyage ; les clients que je dessers depuis une vingtaine, le fleuve Saint-Laurent, mon heure de diner avec des gens agréable etc...
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La journée s'annonce belle. Pas de neige en vue, bizarre tout de même.
"Réchauffement et ou changement climatique ?"
Un cycle possible, comme les grosses semaines...
Mise au point.
Après avoir écouté l'émission Enquête, je dois conclure que les unions syndicales sont propices à toutes les gaffes mafieuses. La participation de plusieurs individus, dont la mienne et celle de mes camarades syndiqués, est essentielle.
Lorsque, à de multiples demandes, mes dirigeants syndicaux Yves Bourassa et Eddy Brandon, (STUIQ), ne répondent pas à mes questions. Que j'insiste réunion après réunion, un peu comme le ptit tannant en classe auprès de son titulaire. Qu'ils oublient de me procurer les états financiers, vous vous inquiétez n'est-ce pas ?
Ensuite que j'adresse mes interrogations auprès d'organismes gouvernementaux, que j'en parle à l'attaché de mon député PQuiste et à la centrale FTQ Saguenay, via Roger Crevier et au directeur du recrutement de cette centrale, Monsieur Émond.
Par la suite, que je m'adresses à Alain Gravel de Radio-Canada et qu'encore là, aucun message ne me parvient. Soit ma cause est illégitime ou alors, qu'elle s'égare dans l'univers du Web.
Heureusement, on s'approche suite à cette émission, des conséquences lucratives et douteuses de mes anciens représentants d'union, conjuguées à ma négligence de régionaux ordinaires. Je ne suis pas le seul responsable mais j'en suis.
Une question me trotte dans la tête ; comment se fait-il que des entreprises peuvent naître et ainsi profiter des fruits de nos cotisations ? La FIPO permettait tout un financement à des condos et la FITI (une alliance du STUIQ), puissent-elles en faire autant.
Je suis un, content de la tournure des enquêtes médiatiques et deux, abasourdis par la complicité de tous les intervenants, même bénéficiaires. La complicité de la classe politique est incontournable sinon à eux d'en faire la preuve.
J'ai jeté un oeil sur ce nouveau média. J'avoue l'avoir connu via une autre voie. Bon, tout ça pour vous apprendre que ce Presstv.Ir révèle une perspective. On peut douter de l'autocritique. Je veux dire, tout n'est pas à la hauteur des médias occidentaux. Gageons que l'État Iranien et que son pouvoir ne devrait pas subir de lynchage médiatique.
Pour finir, Noam Chomsky révèle, peut-être bien malgré lui, à cette antenne, ces points de vue.
Quand même, j'ai regardé ce court clip en premier. Des images sous-titrés par des adeptes du complots et enfin sur oumma.com.
Voilà, il est juste ici.
Alors, notre présence là-bas, en Afghanistan, même réitérée par les 3 objectifs initiales, ne serait pas plus légitimé, à la lecture de Monsieur Chomsky.Petit village Sicilien, Cattolica Eraclea, qui aura vu naître l'influent Nicolo Rizzuto en 1924. Il émigre à Montréal en 54 avec 100$ en poche et mène son entreprise...
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Aujourd'hui, Montréal vient de perdre le mafieux le plus redoutable à la pénombre de son foyer. Nicolo Rizzuto trônait tout en haut de la scène du crime depuis des décennies. Il a été abattu par balle à sa résidence de l'Avenue Antoine-Berthelet. Tout près de chez-lui, son gendre, et leur quartier, un bled de l'omerta.
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Les mâles siciliens, à un certain âge ou un âge certain, sont-ils tous condamnés à une mort violente ?
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Gageons que l'impact politique des deux marches influencent.
Les gens des régions en déambulant avec leurs mécontentement et leurs inquiétudes, devenues quasi quotidiennes, auraient-ils le même poids politique que le rassemblement pour le retour des Nordiques de Québec ? Jamais, pas assez bruyante à mon avis ... _______________________________________________________________
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Que pourrais-je bien annoncer à tous ces clients habitués à tendre la main pour un de mes bonbons préférés ?
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Ariel ? Nom d'une colonie de Cisjordanie. J'affiche son théâtre car...
Car ce théâtre, qui pare la colonie bien au-delà de la ligne verte, est l'objet d'un scandale. C'est que voyez-vous les artistes refusent de s'y produire. On voudrait y présenter une pièce liée à Édith Piaf. Cependant, les artistes insistent et invitent l'ensemble au boy-cote.
L'évènement devrait intéresser M. Harper, notre Pm, qui dit défendre Israël coûte que coûte. Ce type bien sapé osera-t-il se rendre là-bas et argumenter avec la communauté artistique Juive ?
Juste comme ça ; sait-il que les Palestiniens sont à la Cisjordanie ce que les Albertains sont à l'ouest canayen ?
Son homologue Israélien est comme lui ; il fait la promotion des colonies comme s'il était sur son terrain. Je ne voudrais pas oublier les négos avec Abbas, encore un type bien sapé et tout, à la langue fourchue.
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Au point où nous en sommes, comment tourner le dos à un processus engagé. Que les objectifs soient hors d'atteintes c'est une chose, mais que l'on mettent fin à tout ce cirque, nos gouvernants ne le pourraient pas.
Voyez-vous, Harper, le leader incontestable canayen, même minoritaire, ne veut pas de ce genre de laxisme. Il a agi ainsi dans d'autre cas, les enfants soldats et moins récemment concernant la torture.
Je n'ai rien d'un géopoliticien, sauf d'observer, entre autres choses, les scènes actives gouvernées par l'OTAN.
Quitter le sol afghan aurait plusieurs conséquences graves. Il m'est difficile de toutes les étaler. Regardons celles entourant l'Irak. Les luttes quasi fratricide s'amorcent et ne se termineront pas tant qu'1 des maîtres ne ressortent du lot. Ce sera un homme fort, style Saddam. Gageons qu'il aura un passeport couleur OTANien, si ça se trouve.
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Parallèlement, les pays arabes ne semblent aucunement s'inspirer des états dit "démocrates". La culture occidentale reste un embûche à tout libéralisme de ces entités souvent musulmanes.
Je termine mon topo par la prolongation de la mission canayenne au-delà du printemps 2011. L'Afghanistan, si on peut le dire naïvement, a besoin d'être reconstruit ; espérons que la présence de l'OTAN favorisera le tout, même si...
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Depuis les grandes centralisations, il m'est difficile de m'y retrouver. Il aura fallu des grands stratèges de l'économie et de la politique en générale pour l'imaginer, la structurer et la réaliser avec les différents intervenants des pôles capitalistes.
Je ne suis pas économiste, mais force est d'admettre la bourde monumentale. J'ai plusieurs exemples sous la yeux. Le Ministère de l'Éducation engouffre à lui seul une bonne part du budget en ce domaine. Il suffit de scruter la hiérarchie, sans apercevoir à l'horizon, l'élève.
Je vous invite à faire un copier coller si vous désirez. Tenez, le Ministère de la Santé pour en nommer un autre qui lui, éloigne les malades. Ah, pi, regardez le dossier des infirmières qui sont incapables de trouver un horaire, sauf par les agences bien sûr. Impossible.
Que les penseurs veuillent uniformiser un système global, j'en suis. Là où mon objection se forge, c'est d'imposer la manière de faire sur tout un territoire, mur à mur. Oui, on peut bien dénicher des économies de coûts, à l'usure, la lourdeur de l'idée première les enfouit.
Ailleurs, je ne crois pas que d'avoir déménagé les entreprises locales (laiterie-boulangerie-etc...) apportent tant d'avantages. Encore là, la recherche des économies de coûts en a accéléré la transformation. Notre pain, le lait et les viandes, bien étalés dans nos supers-marchés, s'appauvrissent avec l'ajout de toutes sortes de produits.
Imaginons, un arrêt dans une méga usine de transformation ; cela aura pour effet d'influer sur tout le processus commercial. Voici un exemple qui soutient cette thèse ; un coup de froid à un endroit de la planète qui détruit toute une culture provoque une rareté et par magie, une hausse des prix.
La loi de l'offre et de la demande, en s'y enfermant, transforme nos vies et la dénature. En délocalisant les citoyens des petits marchés, en les mutant ailleurs et plus tard, en les mettant à pied, les stratèges gagnent ce pourquoi ils sont, détruire.
Je clos ce billet en parlant de nos étudiants. Ils ne sont pas des marionnettes et leurs enseignants, une espèce de girouettes mal intentionnées. Cessons alors de les enfermer dans une bureaucratie vide et onéreuse.
Tout ce qui a été révélé à ce programme de mardi à la télé est véridique. Tous les acteurs sont biens réels et la prestance du maire Jean Tremblay "JT", un pâle reflet. Il est bp plus incisif.
Normal, on lui a accordé une sorte d'impunité qui s'accolait aux maires lors des grandes fusions. On veut de l'autorité pour mieux réunir suite aux coup de force des fusions.
Cependant, tous les maires non pas eu des poursuites, conséquences des décisions du conseil ?
JT, lui, si.
Souvenons-nous que JT, lors de sa première élection; il avait basé sa campagne sur le "pouvoir aux élus" et non aux hauts-fonctionnaires. Qu'on pense à l'ex-DG de la ville, Lepage ou à l'adjoint qui exerçait une direction puis limogés. Ajoutez les autres poursuites ; tous perdues. Vite à vos calculatrices ; on parle de 7 millions, pas besoin de ventilation. Rien d'éclatant pour n'importe lequel conseil d'une métropole régionale taille Saguenay.
La note adressée aux Conseil de ville Saguenay ?
Pour un péquiste, très minime. Pour les libéraux, misez comme vous le jugez...
Je ne veux pas étirer la recette ou la sauce ; au choix. " Le maire est à la politique ce qu'un étalon est à une écurie qui n'a rien d'une litière pour chat de gouttière". Il dit que "sur deux milliards dépensés sur plus de 10 ans, sept millions, c'est une goutte."
"C'est une tache indéniable", dit-il.
Perso :
Un, la prière et le religieux terrorisent les biens pensants. A priori, lorsque JT conditionne l'impôt foncier et la gestion municipale aux cultes chrétiens respectés par les membres du conseil, s'en est trop. Voici venu l'instant du raid médiatique.
Deux ; lorsque je voie la mairesse Lynda, épouse de JT, à une joute des Sags, bénévole de circonstance, accompagnée une quinzaine de citoyens en chaise roulante ; je lève mon chapeau et vous ? Tout autour de moi l'on marmonne et l'on prétend toutes sortes d'alibi plus ou moins flatteuses et mesquines.
Trois ; lorsque je m'assieds avec d'honnêtes citoyens tendances PQ, "on jase là", et que de vieilles embrouilles se manifestent à devenir gênantes. On taie ou on le dit ?
Moi, je le dis. L'un d'eux : " Moi, je va jamais à Jonquière..." C'est un blague ou c'est sérieux ?
Oui, c'est sérieux.
En conclusion, les élections permettront à tous ces revanchards de tirer une ligne sur l'administration actuel de ville Saguenay mais dans trois ans. À moins bien sûr, qu'une voix s'élève. Une voix des hautes autorités plaidant, je ne sais sous quel chef, une destitution.
Pour placer qui ? Un démocrate, un centriste de gauche, de droite. Un homme fidèle aux Pquistes ? Ou alors un laïc pur.
Un fait demeure, radio-canada et quelques journalistes sont boudés jusqu'à Noël. Pourquoi ce Noël ? Parce que Jésus renaît...
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