La course folle des saisons et des séries viendront à la rescousse des organisations. Pour les uns, une manne, pour les autres, un surplus important et les mieux nantis, une breloque en or. Des moyens monétaires, il en faut considérant les besoins ; l’apport de professionnels de plus en plus spécialisés. Les équipes qui y échappent, une débâcle onéreuse.
Parallèlement, les développements technologiques apparaissent et poussent dans le jardin des incontournables. Une équipe accusée d’hésitation ou de négligence n’atteint que des résultats mitigés et espacés. La scolarité des jeunes exigent un suivi déterminant par des enseignants compétents.
Les avocats sont de plus en plus sollicités. Une organisation d’avenir devra posséder des conseillers en communication, en gestion de crises. Les jeunes d’aujourd’hui ne sont plus comme ceux d’une époque pas si lointaine. Des avis pointus apportent à une organisation ces petits détails permettant à l’athlète un développement complet.
J’ouvre une parenthèse, afin de comparer l’environnement de l’élite des jeunes de la Q à l’élite olympique. Le Canada veut remporter des médailles d’or. Ils font quoi ? Les gouvernements investissent. Pas n’importe comment. En premier lieu, pour un groupe d’entraineurs chevronnés et en second, des spécialistes touchant les différents aspects de l’individu.
Tout cela exige des engagements monétaires extraordinaires et récurrents. Nos décideurs doivent appuyer leurs souhaits par des moyens concurrentiels aux autres nations, sinon la panne sèche. Nous vérifieront les résultats bientôt. L’un des aspects que nos élus ont améliorés, les bourses attribuées selon la position aux podiums.
Je clos cette parenthèse, en indiquant que les moyens monétaires demeurent un atout de taille. Il n’est pas le seul élément, j’en conviens, pour des succès répétitifs, oui. Je termine ce billet en signalant que la façon de faire s’impose avec l’ensemble.
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