
J’ai suivi intensivement le dernier match de la finale de notre sport national en provenance de Détroit.  Je m’expliquais difficilement la faveur du public Kébécois pour la gang à Lemieux.   Aujourd’hui, je comprends.  C’est que les joueurs que le public apprécie ce sont les leurs, tout naturellement.  Je pense ici à une organisation, né sous une étoile victorieuse.  Admettons que depuis des décennies, cette organisation sous-estime le hockey qui se joue dans sa cour. Revenons à la Coupe Stanley.  Qu’ils aient gagné c’est bien, mais n’oublions pas tout le dramatique entourant cette victoire quasi symbolique.  Un septième match à l’étranger par surcroît, c’est un drame fantastique digne d’Hollywood.  Les éphémérides soulignent qu’un dernier gain dans un 7ème, remonte à 71, dans un autre siècle.  Bon, je voulais juste souligner un gain, que j’avais prévu depuis le mois de mars.  Vive le Kébek ! Vive le Kébek libre !
 
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