Le Canadien de Montréal.

J’aimerais revenir à ce samedi passé dans le Temple des Glorieux. Malgré tout l’effervescence, l’équipe était entre deux maux : l’ouvrage et l’estime. Pour tout dire, ils étaient, les joueurs, aux boulots mais trop bercer par la clameur, pour ne pas avoir peur. Dès le lendemain, ils se transportent tous vers l’ouest canayen. Ils ont goûté à la raclée comme ils se devaient d’y goûter. Pas prêt et mal foutu. Le Tigre a déjà dit qu’on ne pouvait mettre à on ou off, toute une équipe de hockey, à volonté. Une vingtaine de gars, aussi bien d’ailleurs que d’icit, avec des desseins différents, des langages tout aussi disparates et en plus, des caractères hétéroclites, c’est à rendre fou, n’importe lequel leader. Carbo ne saura être celui-là ? On le verra bien.