lundi 26 janvier 2009

Mon cholestérol.

Ce billet me touche tout particulièrement. Mes visites chez mon médecin de famille, depuis 2000, précisent une cholestérolémie trop élevé. Au fait, ce n’est pas tellement le niveau sanguin qui m’oblige à revoir, les portions, la rapidité de les absorber, les recettes, les sucreries, la variété de mon alimentation, mais les antécédents familiaux. Une nutritionniste m’a même informé du portrait de ce stérol. Effectivement, ces stérides se promènent de long en large dans nos lipoprotéines. Bon, j’arrête-là la représentation. Pour en revenir à l’essentiel, j’avoue ne pas avoir apporté grande modification à mon menu. J’ai donc dû m’astreindre à la prise d’un médicament quotidiennement afin de remettre à plus tard les effets de ce faussaire. Deux piasses par jour, ouais ! La semaine dernière, j’écoute Charette s’entretenant avec un Grenoble cardiologue, du CNRS, Michel de Lorgeril. Je suis tombé des nus, en beau cholestérol.

2 commentaires:

  1. Si j'étais toi, j'en parlerais à mon médecin avant de balancer mes médicaments à la poubelle...

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  2. tout à fait d'accord. Si tu as écouté son exposé à Charette, il lui disait sa recommandation ultime qui est celle-ci : "ne jamais cesser une recommandation de son médecin sans au préalable en discuter avec lui".

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