Toujours répondre aux questions comme si je possédais réponses à tout. J’admets ! Mais je ne peux qu’entériner la plupart des questionnements par ceci, et une série de perceptions. Noam Chomsky n’est ni physicien et ni ingénieur, mais lui aussi s’interroge en évoquant des incertitudes cachés sous la modestie du personnage. Dans une de ces conférences, il aurait souhaité qu’une équipe de spécialistes se penchent sur ce qui s’est passé ce jour là, comme un tas d’intellos comme lui. Il refuse de croire que ce 11 septembre 2001 soit l’œuvre du gouvernement américain, en alléguant l’atrocité innommable. Quelle preuve a-t-il pour exclure les bushistes ? Ok, le Bush en question est niais, il le crie bien haut ? Mais, il le dit dans l’un de ces documents (le 3) que seule l’identité des victimes transforme cet évènement en avènement. Il dit aussi que la vérité, il ne la détient pas, déduction ; il s’informe, il perçoit et plus, conclue. Que son gouvernement est le pire des pays terroristes. Les personnages comme ceux à qui je me réfère exigent une révision et une reprise d’enquête. Car la première ne répond nullement à des questionnements scientifiques proprement dit. L’enquête s’aligne plutôt vers des généralités et des approximations. Je conçois que mes conclusions soient arrêtées, mais comme le disent souvent mes interlocuteurs, pour ce que ça change dans l’histoire et mes itinéraires en camion ne sont nullement bouleversés…
C’est autre chose pour un illustre, imaginez le tgv ? La locomotive retraite à toute allure sans freinage. Tandis que pour un rêveur ordinaire, c’est un oasis en plein désert, plus, en communion avec un prisme ensoleillé.
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