Aujourd'hui, on l'entend moins me semble.
Je parle d'une expression, la voilà ; "lui, y a une maudite langue sale !"
Certains de ceux-là, y en avait en masse, comméraient sur le dos d'un ou d'une de leur connaissance. Perso, je sais que ça n'est pas anodin quand ça blesse, surtout quand c'est pour blesser. C'est là que mon expression prend tout son sens.
Dans tout, les exceptions changent la donne.
J'ai placé ici-haut un personnage réputé. Jean Lapierre (JL), oui, Jean Lapierre.
JL allumait tout ceux qui l'entendaient, la UNE du matin. Écoutez, c'était un rituel d'intérêt public, un potin politique décapant et parfois le coup de poing. Devant l'animateur complice de TVA, je me remémorerai toujours le personnage narquois avec son ptit calepin.
Lors des analyses électorales, scusez-moi, JL mettait tout le monde dans sa poche de veston. JL nommait les gens de chacun des comtés, les luttes, métal sur métal, ça promettaient.
Lors des analyses électorales, scusez-moi, JL mettait tout le monde dans sa poche de veston. JL nommait les gens de chacun des comtés, les luttes, métal sur métal, ça promettaient.
Aussi, sur le web avec les fous rires d'Arcand du 98.5, dix, douze minutes jouissifs. Depuis ma retraite, je m'en faisais un devoir. D'ailleurs, quelqu'un qui s'intéresse à l'actualité politique ne pouvait manquer son propos, sinon le rattraper.
J'écoutais Denise Bombardier évoquer à radio-X, n'avoir jamais vu un tel phénomène et ce, depuis 50 ans. J'entends tous ses confrères en témoigner, ces concurrents répéter d'une seul voix, quelle perte.
Pour ma part, j'appréciais ses analyses les lundis matins, à midi Dumont, en fin de journée à Laroque suite à un rassemblement politique, peu importe le niveau de gouvernance. JL était d'une éloquence joyeuse et d'une authenticité sans reproche.
Salut.......
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire