La seconde guerre ?

J'entends plusieurs politiciens répétés aisément que le terrorisme doit être abattu, et des "n'ayez pas peur", ne tombez pas dans des amalgames populistes...

Voici, quand les SS d'Hitler ont pris naissance en 1925, ce n'était qu'un groupuscule. La majorité Allemande ne souhaitait nullement sont expansion.  Lentement, avec des gestes de terreur, Hitler bénéficiait d'une croissance et devient chancelier en 33.  La suite lui servit de rempart à son hégémonie futur et la guerre qui s'ensuivit.

Ces hommes et ces femmes politiques, les nôtres tout autant, plaident à une lutte acharnée.  Tous sommes d'accord avec cette lutte, du moins en apparence.  Le monde musulman, comme le peuple Allemand de 1925, s'indigne de ses atrocités que trop timidement.  

Daesh, l'EI, Boko Haram, certaines factions d'al qaida comme pour confondre le bon grain de l'ivraie, accroissent leur hégémonie avec des hommes et des femmes de foi musulmane.  Oui de bons musulmans.  Ici, je ne veux pas choquer mais poursuivre avec des gens sensés cette lutte.

Nos politiciens doivent sans plus attendre mettre fin au laxisme envers les pays musulmans qui imposent la charria.  Ce n'est pas de la stratégie, mais une lutte à finir.  Le conseil des ministres arabes de la justice,  ont ratifié le plan de Saana qui promulgue la primauté du coran et la tradition de mahomet.  Plus de 22 pays l'ont paraphé.

Qui vous expliquera la pratique musulmane telle que prescrit par les docteurs de cette foi ?  Qui vous dira que la taqiya, récitée plusieurs fois par jour, invite tous les musulmans à rejeter les mécréants ? Non pas toujours, sauf dans un environnement majoritaire.   L'Arabie-Saoudite, la Somalie, presque tous les pays de la ligue arabe impose-t-il la charria ?  Non bien sûr.

Mais un milliard 500 millions de croyants musulmans, chiites, sunnites et d'autres tendances, pencheront de quel côté lorsque les frères musulmans d'un état dicteront le code pénal arabe unifié ? L'application de ce code dépend des circonstances favorables ou non. 

Lorsque Daesh et l'EI ont foutu un bordel sanguinaire en Irak, en Syrie, pour ne nommer que ceux-là, en décapitant tous les mécréants chrétiens ou en les chassant de leurs maisons, tous ont eu peur n'est ce pas ?  Ben non, n'ayons pas peur de ces terroristes !  J'imagine nos politiques face à une kalachnikov et son tireur ; ben sûr, ils n'auraient pas peur...   

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