Mi-sérieux, je place ce clip mélodieux, un tempo annonçant un Québec bipolaire...
Sylvain Lelièvre est un artiste que j'apprécie toujours. Sa chanson Lettre de Toronto met en évidence les grands marchés culturels et la patrie. Sous cette angle, SL reste ce qu'il est, un bon vieux régionaux. Il a choisi et son ami aussi.
Un autre artiste, dans un gala, a déclaré à propos du 7ème art, ceci : «Si j’avais rapporté un bulletin de 5,6% à mon père, j’aurais mangé un coup de pied au cul, a-t-il martelé lorsqu’il a pris la parole devant une salle bondée de la Grande Bibliothèque. C’est le temps de se donner ce coup de pied au cul. On n’a plus le choix de se poser la question : qu’est-ce qui ne marche pas?»
Antoine Bertrand a certes analysé la situation du cinéma pour conclure que ce n'est pas toujours la faute des autres. Le Québec économique a lui aussi son examen de conscience à faire. Notre note de gestion mérite un coup de pied au cul. En premier lieu, juguler les dépenses et adresser à la nation notre réalité.
L'éducation, la santé, l'économie et les gouvernances troubles placent l'état Québécois dans un dilemne sérieux. L'équilibre à atteindre nécessitera des efforts de chacun de nous. Il ne faut pas s'éloigner, se laisser distraire par de vains débats.
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/342072/les-quebecois-ces-pauvres-canadiens
Cette article du Devoir, regarde la situation en 2012. Le tout ne s'est pas amélioré même avec Marceau et les décideurs actuels. On s'est enlisé à tous les niveaux. Je répète, éloignons-nous des discordes inutiles pour l'instant.
Les deux référendums passés ont divisé plus que l'on ne le croit. J'ai voté deux fois oui. Pour l'heure, notre appauvrissement collectif m'oblige à ne pas me poser cette question, pourtant si chère, le pays du Québec.
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