mercredi 4 janvier 2012

Monsieur ou ...



Monsieur, je ne peux jurer de rien, mais de quel sorte d'individus dites-vous retenir ?

OK, vous ne l'avez pas dit sauf que ds mon Quotidien de ce matin, vous gardez une porte ouverte à l'ouverture.

Lorsqu'on met à la porte 780 familles pour X millions dollars, faut se poser une question de légitimité. J'oublie le 31 décembre, " minuit jtembrasse youppi ! ", et les résolutions, ok. Le monsieur vient de décréter un non-recevoir au nom de ses patrons pas foutus de la moindre des décences.

" Mais dites-moi, de qui parlez-vous monsieur le blogueur de mes deux ? "

" De ce monsieur aux grandes valeurs liés à son bien commun, Étienne Jacques. "

OK, les travailleurs outrageusement payés, selon plusieurs, n'ont ce qu'ils méritent. Ils veulent nous attacher les mains pour que les profits engrangés n'augmentent pas à un rythme commercialement acceptable.

blablabla bla bla blabla !

Ce que vous semblez oublier Monsieur le surintendant. C'est que les luttes passées par les travailleurs vous ont obligées à partager. Oui, vous et les autres gloutons par cupidité. Si et que n'eût été de vos boss, préalablement, le partage aurait prévu aux dépenses des dindes aux fêtes et des congés ici et là, non payés. Peut-être auriez-vous consenti à une montre cristal liquide aux 25 années de labeurs aux fours ? Peut-être ?

Non, Monsieur, attendez-vous à ce que le syndicalisme actuel est encore sa raison d'être, et ce pour une raison, elle plus que légitime, l'équilibre des forces.

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