Dans le passé, nous n'avions pas le capital. Aujourd'hui, la Caisse de Dépôt peut se permettre de fouiller dans ses porte-feuilles. Jumeler au Fond de Solidarité, la création d'un fond réservé au PLANORD appelé "Fond d'Investissemnent du PLANORD". De suite, ce fond verrait d'un très bon oeil l'acquisition d'actions de minières.
Ceci réalisé, un comité de développement élabore plusieurs stratégies basées sur les droits, la maximisation et l'exploitation du territoire.
1° Transport des marchandises et de la main-d'oeuvre : j'aurais innové avec le monorail Trensquébec. En mettant au point ce moyen de transport ultra-rapide (250km/h), imaginez l'efficacité et les retombés de ce transporteur unique en son genre. Évitons la lourdeur par route bitumée ou classique. Imaginez les coûts liés à ces infras ; construction, entretien et déplacement du roulant. En mettant rapidement sur pied une équipe scientifique, le moteur roue (M4) retrouverait sa mission révolutionnaire à l'aide du "Fond d'Investissemnent du PLANORD".
2° L'exploration des gisements du PLANORD a été exécuté par des membres de cette Association. Rien n'empêche de recourir à des intervenants miniers pour procéder à un plan stratégique d'exploitation sous la direction du comité de développement.
3° Mettre sur pied immédiatement une équipe de recherche afin d'élaborer des usines pour transformer les minerais à proximité des lieux d'extraction. Imaginons les économies d'échelle en coût de transport.
4° Plusieurs s'interrogent à propos de la venue de travailleurs ramenés ici par des minières étrangères. Un, toutes les minières devraient respecter les lois d'ici. (Pensons ici aux travailleurs saisonniers étrangers à l'emploi des producteurs maraîchers du Québec.) Les ressources en main-d'oeuvre ne manquent pas au Québec. Ils suffiraient de bonifier l'emploi comme celles accorder à Hydro-Québec. En tout premier lieu, adresser aux premières nations le plein emploi. Pour ceux qui comparaient les régions éloignées à des goulags, restez à la maison urbaine.
5° Si nous nous comportons en propriétaire des lieux, tout le débat entourant le pourcentage de redevance sera allégé. Rendons-nous compte qu'on hésite à imposer un taux X, lié à différents facteurs Y sur le brut, le net etc... Simplifions le problème en
6° Un comité environnement s'impose. Non, pour sabler l'engrenage mais pour contribuer à amoindrir l'empreinte écologique. Je crois qu'il est possible d'envisager un développement durable. L'exploitation forestière des dernières années aura soumis les exploitants à des façons de faire. Onéreuses certes mais plus conscientes de la régénération des milieux exploités.
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