L'État Kébékois est francophone, on le sait tous. Sauf que, dans la pratique, les lieux ne sont pas si tranchant. La loi 101 avait comme cible, la protection pour cause de menace. Grand Dieu, de quel danger parle-t-on ici ; soit "de perdre l'utilité linguistique de la majorité du Kébek."
Montréal et d'autres lieux insoumis de la Belle Province, permettent des écarts à la loi. Ils sont, banalement, de toute acabit ; des institutions à tous le reste. Saviez-vous que même au Centre Bell, sur la glace lors des parties de la Ligue Nationale de Hockey où the N H L law prévaut, il est interdit de parler la seule langue du travail du Kébek, le français.
La minorité franco de l'Amérique du Nord devra tôt ou tard démontrer plus de suite dans ses idées. Madame Harel candidate à la mairie fait face à un grand dilemne idéologique. Comment convaincre les unilingues anglos de voter pour elle si elle-même don't speak white majority on the island. Grande question hein ? Jusqu'où va le colonialisme servile.
Tu vas aimer le commentaire de ton ami Rico aujourd'hui :
RépondreSupprimerhttp://martineau.blogue.canoe.ca/2009/09/23/le_vrai_scandale