Ce mardi, j’écoutais un nouvelle de radio-canada. Cette annonce d’un chercheur épidémiologique précisait que ce virus, de souche porcine, n’en était pas un.
Primo : qu’il fallait sept gènes sur sept pour en être. La réalité ne révélait que cinq gènes porcins, un aviaire et l’autre humain.
Jeudi, on rappelait par voie de communiqué ministériel que la souche du virus actuel s’appellerait dorénavant le A (H1N1).
Dans ce communiqué, on insistait sur le fait que de manger du cochon ne pouvait nuire à notre santé. Ainsi, qu’en regard des risques que nous encourrons, une bonne hygiène réduit de beaucoup ces risques grippaux. Hier, je suis tombé sur cette article et photos d’un village Mexicain, l’épicentre du virus de souche porcine, disait-on initialement.
Ce lieu est le village du premier cas, aujourd’hui le H1N1, d’un jeune enfant de 5 ans. Si la salubrité consolide l’immunité face à toutes ces souches grippales, les négligences sanitaires perçues sur ces photos, ne gênent surement pas la propagation des gènes porcins.
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