mercredi 18 mars 2009
Ben XVI critique le condom
En déclarant en Afrique, que l’abstinence restait le meilleur moyen de mettre fin au SIDA, Ben a allumé la torche. Cette déclaration, je la fais mienne, et mieux je m’explique. J’invite les gens à bien évaluer les mots de cette déclaration avant de sauter dans le grillage des interdits passéistes et de "hé que t’es rétrograde !" L’abstinence dans tout est le remède à bien des maux. L’humanité est aux prises avec des tares de plus en plus pernicieuses. Qu’on pense à l’obésité. Il ne suffit que de s’abstenir de mal bouffe et ainsi réduire le piège des gras. S’interdire de certaines actions n’a rien de rétrograde, je dirais plutôt que c’est formateur. Tous les spécialistes vous le diront, l’idéal remède, s’abstenir de la chose qui rend malade. Un ami me racontait l’autre jour ; "hier, j’suis allé aux danseuses. De retour à la maison, mon épouse, toujours aussi joli, terminait un boulot. Je me suis mis à la câliné et tout le tra la la et vlan, elle me repousse.
Elle n’avait pas le goût!" Vous me direz que l’ami est épais. Qu’il aurait été préférable qu’il boulotte avec elle. Conclusion, c’est pas parce que tu vas aux danseuses que t’as le goût d’emmerder. Je peux concevoir que ça allume, c’est pour ça qu’il s’adonne parfois aux putes. Ok, ça déborde et je m’en rends compte. Prônez l’abstinence, c’est une balise éducatrice qui relève de l’intelligence et qui dit préservatif, dit autorisée.
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