dimanche 30 novembre 2008

The President of Canada, Stephen Harper.

Le personnage principal et le Parti Conservateur (PC), compromettent le gouvernement actuel de la Fédération Canadienne. Peut-être est-il habité par un vieux songe ? La forme électorale américaine, peut-être ? Les gens qui ont suivi étroitement l’élection étasunienne et nous étions nombreux, se sont vite rendu compte que l’argent partisan demeure un critère indispensable. Plus précisément, les primaires Républicaines et Démocrates auront permis de récolter auprès de l’électorat, plus d’un milliard et demi de dollars US. Grosso-modo, ce bilan représente environ 5$ par tête. En passant, Obama (635 millions) a amassé près du double que son adversaire Républicain, McCain. Ceci n’inclut pas les sommes personnelles comme celle de Mitt Romney, un Républicain. Ce républicain multimillionnaire se retirait début février après avoir dépensé 35$ millions de sa fortune personnelle. Pour mieux mettre en relief le portrait Canadien, la chefferie conservatrice, en 2004, coûtait plus de 5 millions auprès de son électorat ; Harper, dépensait un peu plus de 2$ millions. Ce qui amène la contribution per capita Canadienne à environ, 6 sous. Je sais que la comparaison est boiteuse mais les cultures électorales sont à ce point incompatible. Le tollé que sa proposition partisane, dans l’ombrage des remèdes financiers, provoque, c’est du jamais vu. Comment déclencher tant de colères ? L’Honorable Harper et ses lieutenants devraient en évaluer les conséquences pitoyables, si ce n’est déjà fait. S'ils attendaient une majorité à venir. Laissons le 8 décembre désamorcer cette grenade coast-to-coast. Pourvu bien sûr, que les partis d’opposition enterrent la hache de guerre.

samedi 29 novembre 2008

adage.

Un coucher de soleil oranger ou un lever, à l’aube, rien de plus prometteur. Pour le reste, même l’orage la plus sombre, porte l’espoir.

mardi 25 novembre 2008

SV pour simplicité volontaire.

La crise bien assise offre en perspective, larmes et désolations, dit-on. Hier, après ma journée de travail, je lisais Jean Garon synthétiser la campagne provinciale actuelle. En un mot, l’économie à venir, du jamais vu. Il ne prononcera pas le mot panique, mais l’exhibe autrement. De un, le cycle présent répète comme toujours le mouvement ; ce qui monte, redescend. Second ; plus on monte dans le firmament azuré, plus la chute est grave et l’atterrissage, infâme. Trois ; le crédit institutionnel abrite des usuriers à gros revenus, je les nommerais, des arrivistes parvenus. Quatre ; l’entreprise qu’est le prêt, gonflait une méga bulle qui un jour devait crever, peu importe, regonflons-en une autre. En vrai, ce sarcasme abandonnera tout un genre humain dans la tourmente. Remettre le compteur à zéro, exemple, l’industrie de l’automobile, assigne toute une main d’œuvre dans l’inconnu et leurs familles, l’insécurité. Tout ce qui alimente ce pan de l’économie développée, lui-aussi devra subir la même torpeur. De ce côté-ci, le cycle forestier subit le pire des épisodes, la chute. Cependant, cette main d’œuvre, plus saisonnière, démontre comme toujours, une souplesse récurrente. Depuis quelques jours, j’entends des personnages de la Belle Province clamer que nous autres, on évitera le pire. En admettant que ce soit vrai, préparons-nous pour la descente, qui adviendra. Limitons-nous aux strictes nécessaires, l’essentiel et ainsi, nos transactions avec les arrivistes parvenus seront réduites à leurs plus simples expressions, le net trente jours. La campagne provinciale actuelle, faut bien y revenir, démontre encore une fois que le moins pire des pires ressemblent aux autres. Qu’à peu de chose près, la seule chose qui le différencie, c’est la gouverne tranquille, sans grand bouleversement.

samedi 15 novembre 2008

Les mesquins s’économisent…

Nous les citoyens du monde volontaire, avouons ne pas être ignorants de tout ce tralalalalère. Les 20 s’entendent pour une croissance par une régulation historique mon cul bordel de merde car les économies de bouts de chandelles sont et puent la cire à plein nez. Comme les fanfares jouent des airs militaires, les gens riches et célèbres célèbrent un renouveau passéiste. Une élite parle avec raison de peuples si différents qu’ils faillent un certain temps d’adaptation afin d’amadouer la gaffe des sub-primes payants. Partant de là, est-ce raisonnable d’attendre 2009, avril. Je vous déclare en ce moment même, que les 20 conjuguent tous leurs atouts et leurs attraits pour mieux jouir des taux à venir. Les amis, ou tous ceux qui ne sont pas candides et naïves, pourrions-nous être un temps soit peu ignares, pour admettre tant d’incongruité, d’invraisemblances. Je conviens que, comme vous tous, je paierai avec grâce et convenance de mon labeur volontaire. Vite avril, non pas le premier jour de ce mois, mais dès le 31 mars 2009, que nos stratèges financiers formulent des recommandations afin d’harmoniser les normes comptables pour les rémunérations reliés aux risques. Ainsi-soit-il …

L’économie mondiale.

Je regardais la nomenclature des pays rassemblés à Washington sous l’égide du G-20. Mon premier interrogation ; le grand absent, l’ONU, pourtant soutenu à grand frais. Cette organe de démocratisation se voit encore une fois ignorée des pays dit développée et en émergence. Ceux qui suivent le rendez-vous auront aperçu aussi, le Roi Abdallah ben quelque chose, d’Arabie Saoudite. Les pays de l’Amérique du sud sont représentés par l’Argentine et le Brésil. Le continent Africain avec son milliard de population est représenté par l’Afrique du Sud. Les Américains, hôte et fauteur de troubles, reçoivent tout ce beau monde ainsi qu’une délégation des plus grands financiers. J’ajouterai au passage que tout ce beau monde, déguisé en sauveur, sont les premiers acteurs du triste bordel de la crise financière. L’héritage bushiste nous entraine dans un cataclysme sans nul pareil. Qui croyez-vous relèvera les marchés, détenteurs de l’avenir des gens riches et célèbres, ces pourfendeurs de lois et règles humanitaires ? En tout premier lieu, les citoyens ordinaires paieront la note. Tout ce beau monde, à qui nous confions nos volontés, en planifieront la suite logistique. Le seul remède et cela ne devrait surprendre personne, sera le crédit bancaire. L’institution aura été la source de nos déboires planétaires et le véhicule des solutions. En attendant, les pays sous-développés, en attentes de promesses, tomberont dans l’oubli et le désarroi répété. Ma solution à cette faillite serait la même que pour toute entreprise sans le sous pour ses créanciers ; la repentance, une autorité valable et la remise à 0, en effaçant tout simplement.

mardi 11 novembre 2008

La montréalisation.

Le Québec est immense, près de trois fois la France. Sa population se retrouve dans l’axe de la capitale provinciale à l’île métropolitaine, Montréal. Deux heures de route ne gâchent pas toutes les différences entre les deux sociétés. La métropole exhibe un multiculturalisme qui l’enrichit positivement, dit-on. En s’en éloignant, soit par la 40 ou la 20, le portrait social devient plus homogène. Les gouvernements ont tendance à avaler l’ensemble dans un tout insidieux que j’appelle la montréalisation. Le bilinguisme qu’on tente d’inculquer à l’ensemble du territoire québécois, me semble, oui, insidieux. Jean Charrest estime important que les étudiants, dès le départ, doivent assimiler certaines connaissances linguistiques autres que la première. Je comprends très bien PM, de souhaiter que ses enfants s’initient à l’anglais, mais de l’étendre à la grandeur du Québec, là, nous nous acheminons vers l’assimilation et à plus long terme, l’unilinguisme anglais. Je le sais par expérience, Montréal, là où une bonne portion de Québécois cohabite, s’anglicise. Ma crainte, c’est que ce phénomène pernicieux suivent le courant et se rendent en aval, absorber des milieux fragiles. Conjointement, la langue d’affichage se transforme et affiche déjà une assimilation progressive. De mon Québec semi-profond, je me rends à mon centre d’achat et constate que je mange du Subway, que même si je boycotte Wall Mart, ça ne paraît pas trop, que mon petit-fils porte des habits de chez The Children’s Place, que je rase trop souvent les murs de Future Shop. Même que, Rio Tinto donne des meetings en anglais à son staff cadre.

dimanche 9 novembre 2008

La famille selon Marois.

Je veux bien que Madame investisse dans les garderies. Elle pourrait tout aussi bien accorder des sommes significatives en milieu familial traditionnel. Un couple désireux de garder leurs enfants à la maison ne mérite pas son appui, non, juste les travailleurs obligés et les carriéristes. Des centaines de millions en service de garde, puis aucune planification pour les couples désireux de garder leurs enfants eux-mêmes à la maison.
Plan Marois : Les familles bénéficieraient d'une allocation de soutien à la rentrée scolaire et d'une place en service de garde pour chaque enfant, selon la plateforme électorale. Le document ne mentionne pas de plafond pour les frais de services de garde.
Un enfant en bas âge, généralement, se trouve bien mieux auprès de l’un de ses parents, la maman le plus souvent. Il n’est pas question ici de priver les femmes de leurs autonomies, mais bien d’en faciliter le choix ; le travail ou la famille.

samedi 8 novembre 2008

Pénurie de main-d’œuvre.

Le Québec accroît sa dépendance à l’immigration depuis quelques années. La cause, une démographie en crise. Certaines mesures d’incitation, aux travailleurs retraités, apportent certains résultats diminuant ainsi les besoins réels. Les exemptions d’impôt remises aux étudiants de retour vers leurs lieux d’origine devraient aider, pourvu que la mesure soit reconduite. Les programmes fédéraux pour les emplois temporaires font appel à plus de 90 milles travailleurs étrangers, en agriculture surtout. Mon propos vise surtout une main-d’œuvre spécialisée. Je regarde les chiffres d’octobre chez nos voisins du sud. Je m’attends donc à une arrivée, même en région, de travailleurs des Etats-Unis d’Amérique, du nord en particulier. Préparons-nous en ce sens et initions les démarches, pour simplifier leurs intégrations. De nouveaux employeurs feront aussi leurs entrées, comme Rio Tinto. Il ne faudrait pas, par la même occasion, perdre de vue nos priorités linguistiques. Saviez-vous que certaines rencontres patronale-ouvrières, ici au Saguenay, s’effectuaient en anglais ? Je comprends leurs apports à l’économie mais aussi, j’apprécierais qu’ils agissent en tout respect de nos lois. Les gens influents doivent aussi se soumettre à la langue dans les états comme la Chine, de même chez-nous. La pénurie est sérieuse et s’accroîtra si nos décideurs, ce à tous les niveaux, ne planifient pas bien ce tournant. Je veux juste que cela s’accomplisse sans ambiguïtés, le moins possible.

mercredi 5 novembre 2008

Un président charismatique…

Enfin élu ! Vraiment, nous ne pouvions, l’humanité entière, mieux souhaité. ML King, avant nous, l’avait rêvé dans son fameux discours dans la capitale Américaine. BO se retrouvera à la tête de la nation avec des attentes immenses. Dans le discours de McCain, suite à la victoire de BO, il ne veut laisser planer aucun doute sur le sérieux de la suite, en l’assurant de tout son appuie. Si vous écoutez le discours laisser en lien, l’orateur propose des changements s’adressant, à l’époque, à l’establishment Américain. Aujourd’hui, il s’adresse aux décideurs de l’humanité tout entière, en appui à tous ceux qui subissent les atrocités de la guerre et de l’occupation étrangère. Les brutalités qui sévissent dans le monde ne régressent pas. L’ONU, à travers ses commissions, tentent des négociations avec les différentes factions armées. Que ce soit en Afrique, au Moyen-Orient ou en Asie et ailleurs dans le monde, l’humanité doit négocier un nouveau pacte de partage et d’équité. BO symbolise pour le moment le changement espéré. Mon premier souhait est pour le futur assermenté ; Barack Obama devra permettre à l’ONU d’effectuer son travail afin de soumettre l’OTAN, non pas aux militaires étasuniens, mais aux missions onusiennes décrétées. La crise financière soulève des problèmes structurels important. Seul, l’ensemble des décideurs pourra résoudre les énigmes héritées par des exploiteurs érudits et mafieux. Les problèmes de l’économie soulevés par la débandade devrait être résorber qu’en tenant compte de notre environnement et de l’équité. Le charisme que génère BO est porteur d'espoir. Souhaitons que le travail du nouveau président affiche autant de grandeur.

dimanche 2 novembre 2008

Un Catho.

Je le suis. Comme la majorité des québécois, j’ai reçu le baptême catholique. Dans mon cas et ceux de ma génération, nous le recevions dès le lendemain de notre naissance. Ensuite, j’ai grandi et, tout le long, traversé des périodes de questionnements. J’avoue que même encore aujourd’hui, certaines interrogations nourrissent des instants plus ou moins brefs. J’aime qu’il en soit ainsi car les circonstances, les belles et moins belles, l’exigent. Cette identité, la catho, ne m’empêche nullement d’apprécier la vie, à mon sens elle l’enrichit. Vous saurez que j’ai une raison de plus qu’un agnostique de goûter à la vie, Dieu. Tout ceci ne fait pas de moi un être supérieur. Je suis comme tout le monde ; je deviens irriter dans le brouhaha et le tumulte de la vie, je n’aime pas souffrir, être humilier, je fantasme sur ce qu’il y a de plus joli, même marier et je me découvre encore aujourd’hui entrain de détester un adversaire. Vous voyez, mais je le constate et m’en repends presque facilement. Les célébrations du dimanche et à d’autres moments, mes prières dans la solitude contribuent à mon amélioration, même lente. Un ami me disait un jour, que "je pratique non parce que je suis bon, mais pour devenir bon". Vous me direz de un, que je suis minoritaire, ce que je ne peux contester. Dernièrement, j’entends les gens maugréer contre les cathos mais aussi contre les vieux et souvent de manière virulente contre les religieux, sans aucunes distinctions. Tout ces propos inconsidérés et généralisant m’attristent. Soyons bon joueur, cessons-là nos remarques injustifiées à l’égard de toutes les personnes lorsqu’une, en est responsable.

samedi 1 novembre 2008

MacBush rejeté!

Qu’on tous les canadiens à craindre tant McCain ? Est-ce parce qu’il est un Républicain comme Bush ? Si tel était le cas, la nation d’ici reproche quoi à l’administration Bush ? Est-ce la guerre et la course onéreuse à l’axe du mal ? Est-ce la politique intérieur via la situation financière ? Harper favorise le Républicain et Charrest aussi admet qu’avec Obama, le Canada serait dans l’embarras. Les Canadiens ne sont-ils pas de mèche avec les politiques de Bush en sacrifiant ses soldats en Afghanistan ? Je comprends que McCain soit de droite et que les femmes, québécoises surtout, ne veuillent d’un type rétrograde et vieillissant. Les médias accordent un tel attachement à Obama, que s’en est gênant. Une étude récente, partout sur le globe, accorde une affection indéfectible au candidat Démocrate. Obama parle de changement. En guise de changement, est-il souhaitable qu’il accorde si peu d’importance aux mondes Musulmans ? Un analyste révélait dernièrement que le candidat noir contenait très peu de contenu lié au "CHANGING". Changer quoi et jusqu’où ?

Lise Thibault.

Tout le monde en parle et loin de vouloir en remettre sur le cadavre roulant. La fonction d’abord. Comment se peut-il que le Canada adhère aveuglément à cette institution, qu’est la Monarchie constitutionnelle ? Plusieurs fois, les décideurs politiques auraient souhaité s’en défaire, sans pour autant concrétiser le nécessaire. C’est que voyez-vous, les provinces anglophones acceptent de bon gré l’allégeance royale et ne souhaite nullement s’en défaire. Chez les francophones, la grande majorité ne saisit pas l’importance de cet attachement, à mon avis, plus que symbolique. La récurrence des frais liés à cet emblème crédite le budget Canadien de combien de millions de dollars ? Personne n’est au courant vraiment. L’effigie sur la monnaie devrait représenter un joli pactole, bien plus que celui alloué à Madame Thibault, Clackson et Jean ensemble.