En admettant qu’elle peut apporter à la marée Démocrate, un reflux automnale. Obama doit dénicher au clan Clinton un rôle d’importance. La bataille qui s’annonce, n’augure pas nécessairement bien pour les Démocrates. La situation économique américaine peu reluisante appel l’urgence d’agir. La guerre en Irak demeure un enjeu d’importance capitale et le retrait des forces, une promesse formelle. Fort complexe n'est-ce pas ? Pour revenir à la dame, je voie mal Obama lui livrer la vice-présidence. Je la verrais bien siéger avec Bill, telle une Condoleezza, sur le trône actuel, de Secrétaire d'État. Hilary conserve une popularité indéniable et sur le plan international, elle semble bien s’entendre avec les valeurs d’Obama.
samedi 7 juin 2008
Madame Clinton se livre aux évidences.
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J'ai un peu le feeling qu'Hilary ne collera pas trop longtemps. Peut-être que je me trompe mais les plaies laissées par ce 12 rounds vont prendre du temps à cicatriser. Sans oublier que la femme d'Obama et Hilary se détestent comme ce n'est pas permis.
RépondreSupprimerLe problème c'est que le clan démocrate ne peut pas vraiment l'échapper et qu'Hilary demeure un gros morceau.
Je verrais de bien mauvais augure l'arrivée de McCain à la Maison-Blanche. D'après ce qu'on connait de ses prises de positions élastiques, de son style échevelé et de sa volonté de marcher dans les pas de son prédécesseur, on aurait droit à quatre longues années.
Pour Obama, la droite étatsunienne demeure son seul obstacle et la dame atténuera le ressac métissant. L'autre dilemne de BO, les syndicats.
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