Des études récentes révèlent que les gènes conservent des souvenirs du passé. Et ce faisant, léguer aux générations futurs des comportements ou des bribes émergentes comme l’obésité, l’ivrognerie et même l’homosexualité. Je me dis donc que l’attachement que j’éprouve pour mon coin de pays ressemble à cela. J’ai déjà demeuré en ville comme on dit, mais je suis toujours revenu ici. En partie, j’ai le sentiment que mes racines sont ici, au Saguenay-Lac St-Jean. Qu’est-ce donc ces racines ? Ce matin, en traversant la 175, j’y réfléchissais à ce phénomène curieux. Si personne ne me sourit, me reconnaît, me parle, à quoi cela me servirait-il d’en posséder toute une forêt de racines, vaut mieux l’exil, non ? Je continue. Si je n’aime pas les côtes de niveau un, deux, trois et bien je suis mal barré à Chicoutimi. Si je n’aime pas les horizons proches, c’est pareil. Si j’aime pas les marées montantes et descendantes de 25 ou de
samedi 21 juillet 2007
Mon coin de pays...
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