/suite I
Mise à jour...
Ramener l'historique des anciennes villes est
important bien qu'illusoire. Lorsque le gouvernement de Lucien Bouchard a fusionné les villes, c'était par souci d'économie. Ce n'était pas terminé. Non, le gouvernement suivant, celui de Jean Charest, aura permis de débâtir des fusions par souci d'une démocratisation populaire. Aujourd'hui, dirait-on populiste ?
Imaginez, tout ça aura duré 6 ans (2000/2006). Ce sera une leçon pour les gouvernements
supérieurs, car dans certains cas, s'aura été contre productif à plusieurs égards. Le tableau A du blog précédent démontrait la grandeur des villes centres versus leur population aux km2. Je démontrais l'étendue démesurée de Ville de Saguenay versus les autres. Je comprends qu'on a pas tenu compte de l'étendue des villes, pire, de la démesure.
Reproduisons ce tableau sous un éclairage nouveau soit le nombre de conseillers suivant l'élection de 2017. On assiste à une incongruité par manque de volonté politique en déléguant le nombre d'arrondissement des villes centres à des comités municipaux (2015). Les membres de ces comités sont-ils encore en place ? Pourtant, depuis l'élection de novembre dernier, la rationalisation prendra effet.
À la lumière de ce tableau, nul logique pouvant justifier de telles écarts. S'eut-été plus simple de suggérer un nombre de conseillers par municipalité. À mon avis, 13 conseillers auraient suffit à Ville Saguenay et le blog suivant le démontrera.
Est-ce le nombre de citoyens, la superficie, non c'est la nature même des anciennes villes et des politiciens locaux. Ah ben...
P/c per capita
/à suivre
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